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Mardi, 14 Avril 2009 |
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Cher Andrej,
Je ne sais comment dire pourquoi je n'ai pas aimé tel ou tel livre, dans "le beau garçon" par exemple le personnage ne me plaisait pas sa conduite me l'a rendu antipathique même si la fin est meilleure dans "qui trop embrasse" et "contes de plage" je n'entrais pas dans le livre, je n'arrivais à m'accrocher et être pris par l'histoire comme je l'ai été avec les autres livres.
En revanche je n'oublie pas "goldie pinson doré" car c'est le premier écrit de toi que j'ai lu et qui m'a incité à en lire d'autres, toutefois sur les 33 lus il y en a qui ont, c'est vrai ma préférence, "Nunc Dimittis", comme j'ai aimé, comme j'ai été ému certains passages, là tu vois le livre tu le dévores tant la suite importe, le livre des "amants skinheads" a lui aussi une place privilégiée car pourquoi ne pas rêver qu'une telle cohabitation et un tel partage d'amour soit impossible, Oh, "les frères d'Italie", là aussi j'ai été ému et combien l'histoire est captivante, cependant, cher Andrej ne vas pas croire que mes préférences dévalorisent tes autres écrits, je les ai aimés également d'autant comme je te l'ai déjà dit tes personnages ont une telle noblesse de coeur et d'amour du prochain qu'on adhère immédiatement à l'histoire.
Peut-être seras tu un peu déçu de n'avoir pas parlé du style, d'une part je ne suis pas critique littéraire pour déceler telle ou telle faute ou autre, d'autre part pour moi l'écriture est fluide et claire et la lecture aisée.
Quoiqu'il en soit, mon cher Andrej je te remercie (ainsi que tes traducteurs), pour le plaisir que j'ai à lire ces histoires
je t'embrasse
michel
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Vendredi, 23 Janvier 2009 |
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4 |
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Bonjour Andrrej
voici les meilleures histoires que j'ai retenues
Morve : la transformation d'un etre misérable, passant par plusieurs étapes plus ou moins caothiques, pour finir surun succès avec son ami
Surgi de la mer :magnifique et poetique histoire de ce jeune futur pêcheur qui par amour préfère la précarité
Boy-san : un jeune homme qui se sacrifie pour sa famille, mais toutefois aime bien la bite
Nous devrions etre enemis : une belle leçon sur l'histoire humaine, elle fait oublier la haine entre des peuples qui ne sont pourtant pas très différents
La marques des forceps : comme quoi un retournement de situation dans la vie peut exister
Contes de plage : belle histoire, on en rêve, du cul de la bite
Un jour de carnaval : comme quoi les déguisements ca peut aider
Les amants skinhead : des mecs avec un gros coeur alors qu'ils sont considérés pour des brutes ( histoire dans le même genre serai bien, fait d'actualité)
Le jour des lucioles : amour fou mais difficille, très attachant avec une fin que l'on aurais pas èpérer
Noir et blanc : ici on suprime le racisme et c'est génial
Ce sont les histoires qui m'on le plus marquées, je serai incapable de donner une note a l'une d'elle, les lucioles pour l'émotion et les skinhead pour m'avoir fait bander
Cela dit tu est formidable, tu nous fait rêver, continu comme ca, une simple réflexion des histoire plus d'actualité seraient bienvenues,
bisous a bientôt
Michel
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Vendredi, 17 Octobre 2008 |
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Cher André
J'ai fait de nouveau une lecture rapide des 12 Contes de plage. Une évaluation globale agrée le genre que tu as donné à ces textes : des contes ; la plupart aurait de la difficulté à se situer dans la vraie vie, - je ne dis pas qu'ils ne sont pas possibles -, au contraire, ils pourraient tous se produire dans la vraie vie; c'est bien là leur charme et leur côté un petit brin exhibitionniste.
Je prends la liberté de les coter de 1 à 10. Simplement pour donner une idée de mon appréciation, car ils méritent tous 10/10 comme fruit de l'imagination, comme thème, comme qualité d'écriture.
1. La surprise
Renzo et Valerio
Intéressant. La conversion de Renzo, si conversion il y a, est vite conduite... et définitive. 7/10
2. Mon cher journal
Antonello, de victime de viol (!) se révèle être un habile manipulateur pour parvenir à ses fins.
8/10 pour l'originalité du renversement de la situation.
3. La punition méritée
Stefano a une bien curieuse manière de punir le jeune garçon voyeur. Si le maître-nageur punissait le garçon le sourire au lèvres, ce serait un bien joli conte ; mais le texte semble dire que l'adulte punit le jeune. Je trouve qu'il y a là un peu trop de naïveté de part et d'autre.
5/10
4. Ne jamais dire jamais
Tomaso est aussi un grand naïf, mais l'effet de la situation est quand même drôle.
7/10
5. Le rameur
L'histoire ne dit pas que Marco quittera bientôt Sergio, mais il le faudrait.
Un conte original qui vaut bien un 9/10 pour le subterfuge.
6. Au coeur de la nuit
C'est au bord de l'insolite mais le mystère intrigue toujours. Bravo pour Carlo et Luca.
8/10
7. Feux d'artifice
Je n'ai pas vraiment aimé. C'est à la limite du crédible. Gerolamo me fait pitié. >BR>
5/10
8. Le kiosque
Histoire cocasse presque classique.
5/10
9. La révision
J'accorde la meilleure note à Alfredo et Donato, parce qu'ils cultivent des sentiments.
Je me révèle probablement sentimental moi-même.
10/10
10. La reine de la mer
Le fûté et l'idiot. Un subterfuge un peu flottant.
7/10
11. L'astrologue
Saverio et Alberto formeront-ils un couple ? C'est un peu tiré par les cheveux mais ça vaut le coup.
8/10
12. La crème solaire
Voilà une histoire d'amour qui évolue bien... et dans le bon sens. Dario et Gino vivent un conte réaliste.
10/10
J'espère moi-même ne pas avoir été trop naïf en te transmettant ces quelques remarques.
Jacques
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Mardi, 14 Octobre 2008 |
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1 |
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Cher Andrej,
je viens de terminer la lecture de la série de tes Contes de plage parue sur Textes Gais. Je suis enchanté par cette lecture. Vraiment j'apprécie ton écriture, surtout combien tu prends la peine de mettre un peu de chair autour de l'os. En effet, même s'il s'agit de texte gay érotique, j'y lis quand même une histoire, des sentiments, du vécu. C'est ce qui rend tes textes si agréables et si désirables.
Deuxième moitié d'août et tout septembre, j'ai voyagé en France et Italie. J'avais pris la peine d'imprimer quelques textes qui sont tiens pour les lire en fin de soirée. Chaque fois, j'ai l'impression de lire une lettre venant d'un ami. Malheureusement, loin de l'ordinateur, je n'ai pas pu te transmettre satisfaction et reconnaissance après la lecture de chaque aventure, mais sache que tu comptes en moi un lecteur fidèle, intéressé et surtout heureux de te lire. Quelle joie de rencontrer un auteur tel que toi à traves ces lignes si bien pensées et conduites.
Avec grande amitié en autant qu'elle soit possible via Internet.
J.P.
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