Dimanche, 12 Août 2018		5
	C'est très difficile de décrire mon ressenti, mais humblement je vais essayer: Je suis très touché par les histoires empreintes d'une grande humanité jointe à la simplicité. Je suis également attiré par toutes les histoires où la fidélité joue un rôle primordial. J'aime beaucoup les descriptions et ton talent de narrateur pour celles-ci. En fait, et je pense que c'est le cas pour chacun de tes lecteurs, les histoires qui touchent le plus sont celles qui trouvent une résonance en nous, et souvent dans notre moi le plus profond. Je ne vais pas faire de classement, car chacune est unique, et chacune est un prolongement de toi, que je ne peux pas juger. En cela, je sais que je te rejoins profondément : Alors oui le plus simple est de te dire mes préférées, étagère par étagère: Joyeux Noël Neil et Norman ; le trèfle noir (que je viens de relire pour la 4ème fois je crois !) ; Akim Akim ; l'or l'encens et la myrrhe ; la vie commence à 25 ans ; boy san ; les 8 livres du Collier d'Or ; Cher Eugenio ; le choix ; Mémoire ; La Chartreuse de Montsabot ; Le seigneur des seigneurs ; des pierres éparses (que je suis en train de relire encore, sans doute à cause de mes racines siciliennes) ; le garçon de l'aqueduc ; que ta main droite... ; deux fois étrangers ; le jour des lucioles ; Noir et blanc ; le retour ; Le beau garçon ; 3 lampes à la fenêtre ; papa maman ; la courbure du cou. Tu vois, ce n'est pas simple ! Alors maintenant s'il me faut préciser mes préférées ce seront: Le trèfle noir ; noir et blanc ; deux fois étrangers ; que ta main droite ; le seigneur des seigneurs ; l'or l'encens et la myrrhe ; boy san. Un grand merci de toutes façons pour toutes tes histoires, et celles à venir en français ! Je viens de lire grâce à google trad, à partir de l'italien, la gara piu difficile. Mais je préfère largement ton français! Voilà mon ami, et à bientôt le plaisir de te lire. Bon Dimanche.Amitiés à vous deux, Pierre V.

	Samedi ,16 Septembre 2017		4
	Andrej, un roman métaphysique comme "Le retour": m'a impressionné et m'a donné à réfléchir. J'ai vraiment aimé ça. Comme tous vos romans, il est non seulement très agréable à lire, mais il nous fait penser à beaucoup de choses. Des phénomènes auditifs qui le bouleversent, à la découverte d'être un artiste du piano à la recherche ... Comme dans vos autres romans, vous nous rappelez ici qu'il ne s'agit pas d'être normaux ou gay, mais d'aimer. À bas les étiquettes. Il n'y a pas de conversion en lui. Avant il croyait qu'il aimait une fille, maintenant il sait qu'il peut aimer un homme. Tout ici. Dans le dernier chapitre, j'ai aimé l'apparition de ce garçon séropositif, Cyrus, que lui et Ciro ramènent à la maison. Luc M.

	Mardi, 7 mars 2017		3
	"Le retour": La vie se complique pour Enio. En plus de devoir protéger son jeune frère gay de la colère de ses parents, il doit se séparer de sa copine homophobe et comprendre pourquoi des bruits obsédants envahissent sa tête, pourquoi il sait à présent jouer du piano sans l'avoir jamais appris... Mais au bout du chemin, une surprise extraordinaire l'attend et l'amour explique tous les mystères ! Maxime Harven

	Mardi, 04 decembre 2012		2
	Cher Andrej, J'ai lu "Le retour", ton nouveau texte en français, ce week end. J'aime vraiment tout ce que tu écris. J'aime parce que tu nous racontes des histoire d' AMOUR ; oui de vrai histoire où l'amour est toujours présent et malgré mes 60 ans , je suis de plus en plus "fleur bleue" en te lisant Si tu peux continuer à avoir des traductions en français tu feras beaucoup d'heureux j'en suis sûr. Amicalement Marc

	Vendredi, 30 Novembre 2012		1
	Bonjour Andrej, J'aime tes histoires ! Ce ne sont pas des simples histoires de baise... il y a un environnement, un contexte, des gens avec leurs propres personnalités... J'ai lu "Le retour" et je l'ai beaucoup aimé, comme toujours, par la délicatesse de sentiment et l'incroyable realité de chaque détail. J'ai adoré l'ouverture d'Enio quand il découvre que son frère est gay ; la facilité avec laquelle leurs parents se laissent convaincre que ce n'est pas grave ; la touche finale de Cyrus : c'est toujours bon de voir un pauvre innocent malheureux retrouver le bonheur. Merci encore Charles