Dimanche, 25 Juin 2017		3
	Cher Andrej, dans ton roman "Le garçon de bureau" j'ai beaucoup apprécié l'explosion de Rocco avec le propriétaire de l'usine: il a jeté à son visage tout ce qu'il pensait de lui. Et le fait qu'avant de lui reprocher son comportement il lui avait donné la lettre de démission, c'était un acte d'honnêteté et de liberté qui, peut-être même plus que ses paroles, convainquirent le patron à modifier ses décisions. J'aime aussi beaucoup la façon dont vous êtes toujours attentif aux détails, même aux environnements, de sorte que dans vos descriptions vous pouvez montrer la scène au lecteur. Marko

	Samedi, 15 Février 2014		2
	Voici un autre de vos chefs-d'œuvre. le roman "Le garçon de bureau", que j'ai beaucoup aimé. Rocco, le garçon de bureau, est un jeune homme doux et gentil, mais quand ils touchent l'homme dont il est amoureux, il n'hésite pas à affronter le grand patron et il lui a reproché ses décisions. J'ai vraiment aimé ça. Vous décrivez leur rencontre d'une manière très efficace. Cependant, le patron a été assez honnête pour revoir ses décisions, pour surmonter ses propres préjugés. Un autre aspect de cette histoire que j'ai aimé, et que je trouve dans beaucoup de vos romans, est comment vous pouvez décrire les environnements dans lesquels les faits se déroulent en quelques traits et les faire imaginer au lecteur. Un de vos nombreux talents, je dois dire. Un autre est votre capacité à créer des dialogues crédibles et convaincants, qui esquissent le caractère du personnage plus de cent mots de description. Vous montrez avoir une grande attention à l'utilisation des mots. Jules

	Mardi, 06 Octobre 2009		1
	Le garçon de bureau. Comme d'habitude, une belle histoire. Peut-être un peu à l'eau de rose mais tellement crédible. J'ai particulièrement apprécié le chapitre 9, quand Rocco fait remarquer au cavaliere que les homsexuels ne commettent pas plus de délits ou de crimes que les hétéros. Cela me fait penser au cinéaste américain Michael Moore quand il fait remarquer que la plupart des grands massacres dans les écoles américaines sont le fait de blancs et non de ces blacks que tout le monde juge dangereux et criminels. Philippe