logoMatt & Andrej Koymasky Home
histore originale par Andrej Koymasky


LE CONCIERGE CHAPITRE 7
DES CHOSES DE GARÇONS

C'était le jour où Fausto devait nettoyer l'escalier B. Ayant placé le signe sur la vitrine de la loge, il monta avec l'ascenseur jusqu'aux greniers. Le sien, où il gardait tout ce dont il avait besoin pour nettoyer les escaliers, était au milieu et divisait les greniers de l'escalier A de ceux de l'escalier B ; la porte s'ouvrait sur la terrasse, d'où on pouvait atteindre à la fois les couloirs des greniers des deux escaliers les cabines des moteurs d'ascenseur, les réservoirs d'eau et le système d'antennes de télévision.

Il prit les outils, remplit deux seaux d'eau, retourna à l'escalier B et commença à nettoyer, en descendant progressivement vers le bas. Bien qu'en nettoyant soigneusement, maintenant, il avait appris à s'organiser pour y passer le moins de temps.

Au troisième étage, il rencontra la femme de ménage des Cognetto qui revenait avec les dépenses. Ils échangèrent quelques mots, la femme entra dans la maison et Fausto continua à nettoyer. Arrivé au rez-de-chaussée, il chargea tout dans l'ascenseur et monta, alla à la terrasse, vida l'eau sale des deux seaux, rinça tout et alla remettre les outils dans le grenier. Puis il décida de descendre par l'escalier A.

Il entra dans couloir sur lequel étaient les portes des huit greniers des étages supérieurs et, comme il passait devant le numéro 72, celui des Pantaleo, il entendit un petit rire venant de l'intérieur. Il crut reconnaître la voix de Loris, le garçon de seize ans. Il était sur le point de passer quand il entendit aussi la voix de son ami...

Curieux, il s'arrêta à écouter. Il n'avait pas vu entrer Gustavo et se demanda pourquoi ils étaient allés dans les greniers. Les portes métalliques avaient un reniflard dans la partie supérieure formé par une série de trous ronds de diamètre d'un crayon. En se haussant sur la pointe de ses pieds, Fausto réussit à regarder à l'intérieur.

Loris était debout et se soutenait contre le mur avec les mains, il avait son pantalon baissé et, derrière lui, Gustavo qui le lui agitait dedans, en le tenant enlacé. Loris avait la tête tournée en arrière, et les deux garçons étaient en train de s'embrasser aussi. Fausto pensa qu'ils étaient beaux... Il avait imaginé, soupçonné que peut-être entre les deux amis il y avait quelque chose de plus qu'une amitié, et maintenant il en eut la confirmation.

Puis il pensa que, comme il les avait vus, ils pourraient être surpris par d'autres : la porte de l'escalier et celle qui donnait sur la terrasse étaient bien huilés, par conséquent, en les ouvrant, elles ne faisaient aucun bruit. Il cessa de regarder. Ces deux garçons étaient tendres et il pensa qu'il était dommage qu'ils doivent se voir ainsi, en cachette, à la hâte, debout dans le grenier...

Il s'en alla et descendit par l'ascenseur. Il rentra dans la loge, commuta les sonnettes et enleva le signe. Il était presque cinq heures quand il vit Gustavo descendre. Le garçon, comme toujours, lui fit un sourire et un clin d'œil, et était sur le point de sortir.

Fausto ouvrit la porte de la loge, "Gustavo... tu peux venir ici un moment dans la loge?" il lui demanda.

"Oui ?" répondit le garçon, un peu surpris.

Fausto le fit entrer, ferma la porte et lui fit signe de s'asseoir, et s'assit lui aussi. "Depuis quand toi et Loris vous faites l'amour ?" lui demanda-t-il avec un léger sourire amical.

Le garçon blanchit : "Qu'est-ce que..."

"Je vous ai vu tout à l'heure, là haut, dans le grenier..."

Gustavo le regarda bouche bée, sans voix, puis il dit : "Vous ne le dites pas aux parents de Loris, non ? S'il vous plaît... lui et moi... Nous croyions que c'était sûr là-haut et... Dieu, si les nôtres le savent... Vous n'allez pas le dire..." balbutia-t-il presque, à voix basse, et il rougit.

"Non, ne t'inquiètes pas, je ne le dis à personne. Tout de même... comme je vous ai vus aujourd'hui, quelqu'un d'autre pouvait vous voir, non ? Depuis combien vous le faites ?"

"Deux ans, environ... Oui... il avait quatorze ans et moi seize ans..."

"Et vous le faites... juste entre vous deux? "

"Oui ! Nous... nous... nous sommes amoureux et... nous croyions être en sécurité, là-haut..." le garçon répéta, agité.

"Vous êtes amoureux..." dit Fausto avec un sourire, hochant la tête.

"Oui. Nous ne pouvons rien y faire... nous sommes gays tous les deux et... Quand Loris sera majeur... nous allons essayer de vivre ensemble..."

"C'est toi qui... qui as commencé avec lui ?"

"Oui. Mais pour nous deux... lui et moi, nous ne l'avons jamais fait avec d'autres. Seulement que l'on s'est compris... et on est amoureux... Vraiment vous n'allez le dire à personne ?"

"Mais non, Gustavo, je t'assure. J'avais imaginé qu'entre toi et Loris il y avait plus qu'une bonne amitié. Et ça me fait plaisir..."

"Plaisir ? Vous ne pensez pas que... Vous ne pensez pas de mal de nous ?"

Fausto sourit : "Non, bien sûr que non. Moi aussi, je suis gay et je vous aime beaucoup, vous deux, et..."

Gustavo eut presque un sursaut : "Mais vous... vous ne voulez pas en retour..."

"Non, bien sûr que non, ne t'inquiète pas. J'aime des garçons plus grands que vous deux, je n'y pense même pas."

"Tu es vraiment gay aussi ?" lui demanda Gustavo en reprenant sa couleur normale, commençant à se détendre, et inconsciemment passa à le tutoyer.

"Oui, bien sûr."

"Et... t'as un petit ami ?"

"Non, mais vous deux, là haut... vous avez eu de la chance que je vous ai vus moi et pas quelqu'un d'autre."

"Nous n'avons pas d'autre endroit... À la maison, chez lui et chez moi, il y a presque toujours quelqu'un. En deux ans, seulement trois fois nous avons été en mesure de faire l'amour sur un lit, au calme... et nous n'avons jamais pu passer toute une nuit ensemble."

"Mais... comment avez-vous fait à... à vous comprendre ?"

"Quand nous étions plus jeunes, on allait aux Scouts ensemble. J'étais son chef de patrouille. On s'est compris dans un camp d'été. J'avais déjà réalisé que... j'aimais les garçons et... et je suis tombé amoureux de Loris... et... et il m'admirait comme un fou... ainsi un jour, lors d'un grand jeu... nous étions juste lui et moi, là dans les bois et... je l'ai embrassé et je lui ai dit que j'étais amoureux de lui..."

"Et vous avez fait l'amour ?"

"Non, il y avait le risque que les autres arrivent. Mais... Loris m'a dit que lui aussi était amoureux de moi et puis... Alors je lui ai dit que deux amants font également l'amour et Loris m'a dit d'oui... Mais dans les tentes on était trop nombreux, et ce n'était pas facile... Une fois le camp fini, avant que Loris ne parte en vacances avec les siens... il m'a emmené là-haut dans le grenier et... on a commencé ainsi."

"Mais aucun d'entre vous n'avait jamais fait quoi que ce soit avant, tu m'as dit."

"C'est ainsi. À part... nous branler tout seul... comme si nous ne savions rien et ainsi... nous avons essayé et nous avons appris ensemble à le faire, un peu à la fois, à faire tout..."

Fausto sourit et hocha la tête.

"Mais vraiment toi aussi t'es gay ?" demanda le garçon. "Nous ne l'avions jamais pensé. Dieu quel cul que tu nous aies vu là, alors, et pas un autre !"

"Oui, mais ça pouvait être quelqu'un d'autre... et vous n'êtes pas complètement en sécurité, là-haut."

"Mais que pouvons-nous faire ? Nous n'avons pas d'autre endroit..."

"Tu as raison, c'est l'éternel problème. Tout de même... peut-être il y aurait une solution..."

"Laquelle ?" demanda Gustavo immédiatement intéressé.

"Laisse-moi réfléchir. Je dois d'abord vérifier certaines choses."

"Mais... dis-moi... toi... comment as-tu compris, comment as-tu commencé ?"

"Compris... Je ne peux pas dire exactement, je ne pense pas pouvoir identifier un moment précis quand j'ai compris. La première fois que j'ai fait quelque chose, et que j'ai réalisé que ça m'allait bien..." dit Fausto pensif, et il commença à raconter.


Quand j'étais petit, je vivais en banlieue avec mon père, ma mère, et trois frères plus petits que moi. Nous quatre frères on dormait dans la même pièce. Il n'y avait pas beaucoup d'argent à la maison, on n'a donc pas eu de nombreux jeux, et attractions. Et puis, le pire était quand nous on n'allait pas à l'école, car alors c'était vraiment un grand ennui. Donc, nous petits on flânait dans le quartier, juste pour passer le temps. Peut-être qu'on allait à la paroisse tirer deux coups de pied au ballon ou pour jouer au baby-foot.

Il y avait un petit groupe de garçons plus âgés que moi, entre seize et dix-huit ans, qui étaient toujours ensemble et qui semblaient toujours avoir quelque chose de bien à faire. Ils étaient aussi très sympathiques, donc j'avais essayé plusieurs fois de me faire accepter par eux, mais ils ne semblaient pas du tout intéressés par moi, sans doute parce qu'ils me jugeaient trop petit.

Ils étaient quatre, Beppe, dix-huit ans, son frère Lino, de seize, Mario de dix-sept et Danilo également dix-sept ans. Je leurs bourdonnais autour, à l'un ou à l'autre, ou lors de leur rencontres, en essayant de me faire accepter, mais ou ils me snobaient ou même ils me traitaient froidement et parfois mal. Mais je ne me rendais pas.

Un jour, j'ai vu trois d'entre eux, Mario, Danilo et Lino, qui, en ricanant et en plaisantant, allaient à la vieille vacherie abandonnée qui, encore à cette époque se levait entre les maisons neuves. Je ne sais pas te dire pourquoi, mais je décidai de les suivre sans me faire voir pour voir ce qu'ils allaient y faire. Ils entrèrent par le grand arc avec la porte presque effondré et disparurent dans la cour, qui était complètement envahie par des buissons sauvages.

Je regardai à l'intérieur mais ne les voyais pas. Un peu le cœur battant, je me faufilai dans l'aire, moi aussi, en regardant autour, essayant de voir où ils pouvaient être. J'ai entendu un éclat de rire qui m'a fait réaliser et je glissai le long des murs à moitié écroulés : ils étaient dans la seule partie encore debout presque complètement, qui devait avoir été la maison principale.

La maison n'avait plus ni portes ni fenêtres. Je regardais à l'intérieur mais il avait l'air vide, alors prudemment je montai l'escalier en pierre, plein de décombres. Et je les ai vus : ils étaient tous trois assis sur le sol, face à la fenêtre vide, presque en demi-cercle, Mario au centre et Lino et Danilo à ses côtés, le dos contre deux caisses en bois. Je remarquai que, en réalité, ils n'étaient pas assis sur le sol, mais sur un vieux matelas de doublure à grande rayes marron. Ils se penchaient vers quelque chose qui était sur le plancher qu'ils regardaient et ils rigolaient.

J'étais curieux, j'aurais voulu me rapprocher, mais je n'osais pas. Tout à coup, j'ai senti une main se poser sur son mon épaule et je sursautai, effrayé, en me tournant. Beppe était là.

"Hey, espion !" dit-il en fronçant les sourcils, puis il a dit aux autres, qui, en même temps, s'étaient tournés vers nous : "Regardez un peu ici, les gars, qui fait le fureteur !"

Les trois autres se mirent debout comme Beppe me poussais vers eux, et ils m'entourèrent avec un air emmerdé. Je tremblais, me demandant ce qu'ils m'auraient fait.

"Qu'est-ce que tu fous ici, Fausto ?" me demanda Mario avec une expression menaçante.

"Je... je... je voulais juste voir... pourquoi vous êtes venu ici et..." j'ai dit un peu embarrassé et un peu inquiet, "Je ne voulais pas vous faire chier, je..."

Danilo dit, conciliant : "Nous ne sommes pas en colère, mais... on t'a dit à plusieurs reprises de nous laisser tranquilles, non ? T'es encore un gamin, toi... Quoi qu'il en soit, maintenant que tu as vu où nous nous trouvons, tu dois nous jurer de ne le dire à personne !"

"Oui, je le jure... je le jure !" j'ai dit, pressé, et encore un peu inquiet.

"Tu vois, Fausto, ceci est notre crique privée, la Fédération Italienne des Garçons Allègres..." m'expliqua Lino avec un sourire et m'indiqua un mur.

Sur un pan encore enduit de plâtre ils avaient dessiné, je pense avec des craies de couleur, un blason avec une femme nue qui se touchait entre ses jambes, et dessous étaient écrits les quatre mots, et je remarquai que les lettres majuscules initiales, une sous l'autre, formaient le mot «FIGA»... [n.d.t. en italien «figa» = «chatte»]

"Ceci est notre club où nous venons jouer et nous astiquer, en attendant d'être en mesure d'avoir une chatte chaude disponible..." dit Danilo.

Je regardais le dessin, puis l'un d'eux, et je demandai : "Vous astiquez quoi ?"

Mario se mit à rire : "Comme tu dis ? Nous venons ici pour nous branler, tripoter, secouer le bonhomme, faire ramollo..."

Beppe me demanda : "Qu'est-ce que c'est, tu ne te branles pas ? Peut-être avec quelques camarades de classe? "

"Oui, je le fais !" je déclarai fièrement, puis j'ajoutai doucement, presque honteux, "Mais tout seul... jamais avec les autres."

"Mais tu gicles déjà ?" me demanda Mario. "Allez, fais-nous voir... et si tu gicles... tu peux devenir un de nous."

"Allez ! Tu ne vois pas que c'est encore un gamin ? Laisse-le aller, il nous a juré de ne le dire à personne !" protesta Danilo.

"Je dis qu'il ne gicle pas encore !" proclama Beppe.

"Il a déjà quatorze ans, peut-être que par contre il vient déjà. Allez, voyons !" m'ordonna Mario.

J'avais honte, mais je comprenais que je me jouais leur acceptation. Je savais que je venais depuis presque un an. Mais je ne l'avais jamais fait devant les autres.

"Viens ici ; venez les gars !" ordonna Beppe.

Nous sommes allés nous asseoir tous les cinq sur le matelas et j'ai vu ce qu'ils avaient dans le sol étaient deux ou trois magazines pornographiques, à couleurs.

"Là, tu vois, ici nous gardons caché nos magazines porno, nous les regardons et quand nous l'avons bien dure nous les sortons et on se branle jusqu'à gicler." m'expliqua Mario.

Il commença à feuilleter le magazine et ils s'arrêtaient à regarder les photos et les commentaient bruyamment en ricanant : "Regardez, les gars, regardez quels tétons ! Regardez comme elle se la fait glisser dans sa chatte ! Regardez comme jouit la salope !"

À moi, cependant, ces femmes nues ne plaisaient pas du tout, par contre j'étais fasciné par les hommes nus, par leurs bites dures, leurs corps solides et minces, leurs culs secs et nerveux... Ils le faisaient dans les positions les plus improbables. Et je vis que ces femmes, en plus de le prendre dans leur chatte, le suçaient ou le prenaient dans le cul... Et je pensais que ce devait être fort de faire ces choses... C'est à dire être moi à la place de ces femmes, avec ces hommes...

"Là, vous voyez les gars, c'est la pose dans laquelle je voudrais la mettre dans cette grosse chatte de Giuseppina !" dit Beppe, et ayant ouvert la braguette de son pantalon, il fouilla à l'intérieur et il le tira dehors, déjà bien dur, et commença à se masturber.

Il l'avait droit comme un poteau, plus gros que le mien, et je pensais qu'il était beau, et j'aurais voulu le toucher. Pendant ce temps, presque comme si c'était un signal, aussi les autres se l'étaient sorti, l'un après l'autre, et ils ont commencé à se masturber. À cette vision même le mien était devenu dur, beaucoup plus que d'habitude. Mes yeux erraient d'un giron à l'autre, fasciné.

Mario me dit : "Si tu veux faire partie de notre groupe, tu dois te branler toi aussi, Fausto, et nous laisser voir ce que tu sais faire, si tu gicles ou pas !"

J'étais gêné, peut-être j'avais même rougi, et eux, qui m'encourageait en disant que parmi nous il n'y avait rien à avoir honte et qui au contraire se moquait de moi... Alors j'ai lentement ouvert mon pantalon, je fouillai dans mon slip et le sortis : il était plus petit que celui de mes camarades, mais je ne pense pas qu'il faisait pâle figure.

"Lève-toi !" m'ordonna Beppe.

Je me suis levé. Beppe me fit descendre pantalon et slip, et il me les fit enlever. Mario m'enleva ma chemise. Je les laissais faire. Donc, je suis resté avec le seul maillot de corps, un peu honteux, mais néanmoins décidé à me faire accepter.

Beppe me fit asseoir à nouveau, prit mon oiseau et commença à me masturber, "Il a déjà les poils, les gars. Et il l'a bien dur !" dit-il, amusé. "Ça te plaît ?" me demanda-t-il ensuite.

Je hochai la tête.

"Hé, Beppe, t'es pas en train de t'amuser à le branler, non ?" demanda Mario.

"Et pourquoi pas ? Entre nous, nous l'avons aussi fait, non ? Et puis... pour être honnête... je pensais à autre chose, vu qu'il veut devenir l'un d'entre nous..." dit Beppe et il me caressa les fesses.

"Merde, tu ne voudrais pas..." objecta Danilo.

Beppe lui fit un clin d'œil et hocha la tête, puis me dit : "Si tu nous fais jouir, tu deviens un des nôtres. C'est vrai que t'es partant ? Tu verras que tu vas bien aimer aussi... Viens ici...."

Il me fit mettre debout, étendit ma chemise sur une caisse, et me dit : "Allonge-toi, la poitrine sur la caisse et les jambes largement écartées. Bravo, juste comme ça." Puis il cracha sur sa main et mouilla son membre droit et dur, cracha à nouveau et me mouilla mon anus.

"Mais merde, Beppe, tu ne voudras pas te le faire, non ?" s'opposa Danilo à nouveau.

"Bien sûr que oui ! Laisse-moi faire." Beppe dit. "Maintenant détends-toi, Fausto, et je vais te faire essayer quelque chose de beau ! D'accord ?"

J'étais un peu préoccupé, mais je voulais qu'ils me prennent avec eux, et je compris que ce fut une sorte de test d'admission... Je hochai la tête : j'étais déterminé à essayer. Je sentis qu'il avait mis le bout de sa queue contre mon trou et il commençait à pousser pour m'entrer dans. Les autres s'étaient levés et étaient venus autour de la caisse, à regarder, continuant à se masturber.

Un peu j'étais excité et un peu j'avais peur. Soudain, je sentis une douleur aiguë. "Aïe! Aïe, Beppe, tu me fais mal ! Aïe ! Arrête, allez..." je l'ai supplié, mais sans bouger.

"Merde, qu'il est serré !" Beppe marmonna, arrêtant de pousser. "Je ne réussis pas à entrer."

"Mais quoi, t'es pas un connard, Beppe, non ?" cria Danilo : "Tant qu'on se branlait, je suis là, mais dans ces choses je ne veux pas y entrer ! Merde, il n'a pas encore seize ans, tu ne sais pas que tu peux avoir des ennuis avec la loi ?"

Lino a également dit quelque chose de pareil. Mario essaya de minimiser et dit : "Mais nous on l'a pas obligé, non ?"

J'étais resté dans la position dans laquelle m'avait fait mettre Beppe, qui tourna autour de moi, s'accroupi en face de moi et me dit : "Allez, Fausto, je ne voulais pas te faire mal. Non, mais je ne sais pas ce qui m'a pris... mais tu as si un beau petit cul... et le désir est si fort, et... Lève-toi, viens !"

Je me suis levé, confus, incertain : je craignais que, après avoir échoué le test, ils ne voulaient pas me prendre avec eux... Mais à ce moment-là Mario remarqua que j'avais encore une forte érection et ricana.

"Hey, regardez ! Fausto s'est excité à se le sentir sur le cul ! Donc, il te plaisait, hein ?"

Je hochai la tête. "Il me faisait mal, mais..."

"Mais ça te plaisait quand Beppe essayait de te le mettre dedans, n'est-ce pas ?" insista Mario.

Je hochai la tête : "Oui, ça me plaisait, mais il me faisait trop mal..." j'ai dit, embarrassé, je ne sais pas si je l'étais plus pour cette admission ou parce que je n'avais pas réussi à le prendre. "Je ne sais pas, mais... s'il ne me faisait pas si mal..."

Mario sourit, puis dit aux autres : "S'il lui plaît, c'est juste un problème de lubrifiant... Ce serait suffisant d'avoir un peu de crème, ou d'huile, que sais je..." Puis il me demanda: "S'il ne te faisait pas mal... tu te le laisserais mettre ?"

Je hochai la tête.

Beppe alors dit à son frère : "Lino, fais un saut à la maison et vois si tu trouves quelque chose qui peut bien aller."

Lino me demanda : "Mais tu restes là, Fausto ? Si nous essayons avec une crème... tu nous laisses essayer de te la mettre ?"

Je hochai la tête à nouveau.

Danilo dit : "Mais ce ne sera pas dangereux ? Il n'a pas encore seize ans..."

Je voulais vraiment essayer, ainsi, bien qu'un peu honteux, je dis : "Mais je veux essayer... s'il ne me fait pas trop mal. Si vous me promettez que vous arrêtez si ça fait mal..."

"Bien sûr, on te le promet. Pas vrais, les garçons ?" dit Mario.

Tout le monde hocha la tête. Alors Lino dit : "Très bien, je vais voir si je trouve quelque chose !" Il remonta son pantalon et sortit en courant.

"S'il trouve quelque chose, avant de revenir, il lui faut au moins une demi-heure. Que faisons-nous maintenant?" demanda Beppe. "On regarde les magazines ?"

"Non !" Mario répondit avec un sourire en coin. "Fausto, assieds toi sur la caisse. Maintenant, je t'enseigne un beau jeu qui ne fait pas de mal, n'aies pas peur. Sors le moi de nouveau, allez..."

Je le lui ai sorti, excité d'être en mesure de le toucher. Il était de nouveau bien dur, chaud dans ma main, là, devant mon visage...

"Maintenant, tu me le prends dans la bouche, sans me faire sentir les dents... Tu verras que ça va te plaire même à toi ..." il m'instruisit.

Je le fis, un peu hésitant : pour la première fois je sentis un membre dur entre mes lèvres, dans ma bouche, comme je l'avais vu sur les photos du magazine. Ça me plaisait ! Il avait un goût léger, agréable.

"Suce-le, Fausto, et bouge ta langue... Ainsi... bon... Bouge ta tête en avant et en arrière serrant les lèvres... Ouais, ainsi... ne me faire pas sentir les dents... bravo... " dit-il, caressant mes cheveux. Puis il se tourna vers les autres : "Putain, les gars... il sait y faire, le gamin !"

Dans l'entretemps, j'étais excité de nouveau et j'ai commencé à me masturber : ce petit jeu me plaisait beaucoup. Mario prit ma tête entre ses mains et commença à déplacer son bassin d'avant en arrière. Il frotta son poteau contre mon palais et je lui bougeais la langue autour et j'aimais de plus en plus. Les deux autres nous regardaient, ils se l'étaient de nouveau sorti et se masturbaient.

Le rythme de Mario devint plus rapide et plus fort, "Oh, putain... Je vais lui gicler... dans la bouche... Oohhh. Suce... Ooohhh... alors... oui... ici... je vieeeens..." il gémit, et se déchargea dans ma bouche. "Bois la... avale tout ça..." dit-il, excité.

J'obéis, je le sentais m'éclabousser dans la bouche, me la remplir... et finalement j'avalai tout... Je pensais qu'il avait un vague goût d'amandes amères... bien agréable. Mario se désenfila, laissant échapper un soupir satisfait.

"Merde, il a tout avalé !" s'écria Beppe. "Tout jusqu'à la dernière goutte ! Donc ça t'a plu, hein, Fausto ?" me demanda-t-il, étonné.

"Oui." Je lui ai répondu en m'essuyant les lèvres avec le dos d'une main. "Qui d'entre vous m'en fait boire à nouveau ?" j'ai alors demandé, en regardant Danilo et Beppe.

"Tu as encore soif ? Je t'en fais boire, alors !" s'exclama joyeusement Danilo, prenant la place de Mario et m'offrant son membre dur qu'il tenait avec sa main, en le visant vers mes lèvres.

Je commençais à le sucer avidement, plus sûr que jamais. Danilo gémissait doucement, presque comme un petit chien heureux... il ne dura pas longtemps, et finalement il me donna sa contribution. Je remarquai qu'il avait un goût différent de celui de Mario, moins amer, et je pensais que je l'aimais bien. Beppe immédiatement prit sa place et me l'enfila dans la bouche, mais Mario le fit arrêter.

"Attends, Beppe, ton frère est de retour."

Beppe immédiatement retira son membre de ma bouche et me dit avec un grand sourire : "Tu verras, Fausto, le meilleur est encore à venir. Tu verras que cette fois je réussis à te le mettre dans le cul."

Lino avait apporté une boite bleu de Crème Nivea de sa mère, en disant qu'il n'avait rien trouvé de mieux. "Je pense que ce sera très bien, Lino." le frère, l'ouvrant dit. "Tu aurais dû être ici : Mario et Danilo se sont fait faire une belle pipe, et ils sont venus dans sa bouche et le gamin a tout avalé !" Puis il me dit : "Viens, allonge-toi comme avant, maintenant j'essaie à nouveau !"

"Vas-y mollo, Beppe, hein !" je lui ai dit, mais j'obéis rapidement. J'avais presque hâte d'essayer cela aussi.

Beppe commença immédiatement à étaler la crème avant sur son membre dur, et puis aussi sur mon petit trou. C'était une sensation très agréable. Il me prépara très bien, même en m'enfilant dedans un doigt et je commençais déjà à ressentir du plaisir.

"Relaxe-toi au maximum, Fausto, et écarte bien tes fesses avec tes mains... Ne t'inquiètes pas, Beppe va te baiser mollo mollo..." dit Mario.

Les trois autres, autour, nous regardaient excités et cela aussi m'excitait. Beppe reposa le bout de son membre sur mon petit trou et commença à pousser... La crème fonctionnait : maintenant, je sentais un peu d'inconfort, mais pas de douleur. Je décidai de résister.

"Si ça fait mal, dis-le." me dit Danilo.

"Non, c'est bien... Allez, Beppe ..." je l'incitai.

Au fur et à mesure qu'il m'entrait dedans, je commençais à ressentir une certaine douleur, mais c'était supportable et de toute façon je le voulais tout à l'intérieur. À un moment je sentis ses cuisses pressées contre mes fesses. Il était tout dedans ! J'en fus surpris et heureux. Beppe le désenfila lentement, puis le poussa à l'intérieur ; dehors... dedans... dehors... dedans... à un rythme de plus en plus rapide et de plus en plus sûr. Le trou semblait brûler un peu, mais le plaisir était plus grand que l'inconfort.

Beppe commença à gémir à chaque poussée et mes gémissements soulignaient les siens. Je me suis senti plein, agréablement rempli. Les autres étaient là à nous regarder, excités. Leurs membres étaient à nouveau dégainés et tous les trois se masturbaient. Beppe gémit plus fort et je savais qu'il allait venir.

Alors je regardai Lino et je lui ai dit : "Je veux aussi le tien dedans... après ton frère. Il me plaît."

Danilo se déplaça devant moi et m'offrit son membre, et je le suçais encore : j'aimais être pris des deux côtés. Beppe battait en moi de plus en plus vite, jusqu'à ce que, en gémissant, il vint.

"Ooooh... je viens..." cria-t-il presque, en me le poussant tout à l'intérieur.

À chaque éclaboussure il me battait avec force, et ça me plaisait comme un fou. Puis il se glissa hors de moi, haletant lourdement. Lino, qui se l'était enduit de crème, prit immédiatement sa place et me le fourra dans d'une seule poussée. Il allait très bien, soit parce qu'il l'avait moins grand que son frère, soit parce que j'étais encore bien dilaté, et il commença à me pistonner avec un plaisir évident. D'abord Danilo vint dans ma bouche à nouveau puis aussi Lino derrière moi. Alors je suis venu, aussi.

"Putain, les gars, rien à voir avec nos branlettes. Fausto est un de nous maintenant, et nous pouvons nous amuser avec lui !" dit Danilo, satisfait.

Quand je me suis finalement levé, et tous rhabillés, je demandai : "Vraiment, je fais partie du club, maintenant ?"

"Mais bien sûr ! Nous laissons ici la crème, Lino, avec les magazines !" dit Mario.

Ils ont cachés tout dans une des deux caisses. Ensuite, nous sommes sortis tous les cinq de l'ancienne ferme. Le cul me faisait un peu mal, mais j'étais satisfait et heureux.


Gustavo avait écouté toute l'histoire : "Et vous êtes-vous encore vus?"

"Oui, bien sûr. Pendant près d'un an, jusqu'à ce que les bulldozers arrivent et démolissent tout. J'étais à moitié heureux et à moitié inquiet de le faire avec eux : j'aimais, mais je ne voulais pas être un «pédé», comme j'avais réalisé l'être."

"Mais tu... tu le prenais seulement ?"

"Avec eux quatre, oui. Aucun d'entre eux n'était gay."

"Mais ils ne se moquaient pas de toi ?"

"Non... au contraire, ils me traitaient bien. Peut-être qu'ils pensaient que je n'étais pas gay, étant le plus jeune, j'étais là... mais après je changerai comme tous les gars... je ne sais pas, on n'en a jamais parlé."

"Mais entre Loris et moi, c'est différent... parce que nous sommes amoureux... Et tout ce que je fais pour lui, il le fait pour moi..." déclara Gustavo.

"Oui, bien sûr, t'as raison que c'est différent."

"Et vraiment... tu chercheras une meilleure solution que le grenier ? Aussi parce que là... nous ne pouvons que le faire debout et..."

"Je t'ai promis que je vais y penser, Gustavo."

"Je peux le dire à Loris ?"

"Bien sûr. Mais comme je ne dis rien de vous à d'autres, vous deux ne devez parler de moi à personne."

"Logique !"


Chapitre précédent
back
Couverture
ToC
16eEtagère

shelf 1

Chapitre suivant
next


navigation map
recommend
corner
corner
If you can't use the map, use these links.
HALL Lounge Livingroom Memorial
Our Bedroom Guestroom Library Workshop
Links Awards Map
corner
corner


© Matt & Andrej Koymasky, 2012