CHAPITRE 5
LES JOURS S'ENVOLENT


"Les tiens me plaisent... avec cet air un peu hippie, ta mère avec ses jupes à fleurs longues et ses tresses, Douglas avec son complet en jeans et ses chemises colorées..." dit Dave alors que, les pieds nus et avec les chaussures à l'épaule attachées ensemble par les lacets, ils marchaient sur le long ponton désert.

"Et tu plais aux miens. Maman est parfois un peu... Elle ne te fatigue pas avec ses bavardages ?"

"Mais non ! C'est bon de se sentir accueilli, surtout s'ils savent ce qu'il y a entre nous. Douglas semble aussi un type bien. S'ils étaient pareils, quand même les miens ! Tu as de la chance."

"Oui, je le pense aussi."

"Quand t'es-tu fait tatouer « Mon meilleur ami » sur la queue ?" demanda Dave, en le regardant amusé.

"Ah, tu as remarqué ?"

"Eh bien, je dirais que j'ai pu le voir... plutôt de près, non ?" Rigola Dave.

"Il y a deux ans. À Londres. Une chose un peu stupide, non ?"

"Non ... amusante. Mais surtout... tatouage ou pas, j'aime la façon dont tu l'utilises..." dit Dave le regardant avec un sourire en coin.

"Bien. Tu sais que j'ai envie ?"

"Maintenant ?"

"Maintenant."

"Mais ici... ce n'est pas très... Sage."

"Et qui t'a jamais dit que je suis sage ? Allez... Il n'y a personne, à cette heure, ils sont tous au lit maintenant. L'appontement est long et si quelqu'un vient nous le verrions à temps. Et puis, malgré les réverbères, c'est assez sombre pour..."

"Cela ne te suffit pas de le faire presque tous les matins ?" demanda Dave en lui entourant la taille avec un bras.

Freddy ne répondit pas, il le regarda en souriant et pencha son visage vers lui en lui demandant, sans mots, un baiser. Dave sourit, se plaça devant lui et l'embrassa avec plaisir. Freddy le caressa entre ses jambes, et se mit à déboutonner son pantalon.

"Non, allez..." Dave protesta doucement.

"Allez, toi ! Laisse-moi faire !" Insista Freddy, continuant à ouvrir son pantalon. "Lui, il ne dit pas non, il est déjà bien dur !" Rigola-t-il. Puis il dit : "Tu surveilles que personne ne vienne..." Il se mit à genoux et, rapidement, le prit dans sa bouche et commença à le lui travailler comme un artiste et avec un réel plaisir.

Dave laissa échapper un léger gémissement de plaisir et laissa faire, en s'appuyant contre la balustrade. Il regarda attentivement que les gens ne viennent pas, mais en attendant il jouissait de l'attention de son compagnon, de temps en temps émettant encore des gémissements étouffés. Il caressa les cheveux de Freddy, inconsciemment, pour lui exprimer son plaisir.

Après un certain temps, Dave murmura d'une voix étranglée : "Freddy... Je suis... Je... je viens..."

Freddy se détacha un instant : "Tais-toi. Viens. Je veux boire !" et il replongea pour lui donner du plaisir.

Dave se raidit, sursauta et avec un long gémissement, se mit à gicler dans la bouche accueillante du partenaire, qui but tout avec vraie gourmandise. Puis il se leva, le prit entre ses bras et l'embrassa longtemps et profondément. Lorsqu'il se détacha, il le regarda avec des yeux rieurs. "Maintenant, tourne-toi et baisse ton pantalon un peu. Je veux te le mettre. Et ne fais pas d'histoires. Je mérite un prix, non ?"

"Mais ici..." Dave protesta faiblement. Mais il se laissa tourner par le compagnon. Il s'appuya avec les mains sur le parapet de la balustrade sans perdre de vue le début de l'appontement, laissa Freddy lui baisser un peu son pantalon ainsi que les slips, puis demanda : "Mais as-tu une capote ?"

"Bien sûr que j'en ai une. Ne t'inquiète pas. Tu sais que j'aime beaucoup ton joli petit cul ? Je t'aime, j'aime tout de toi..." il ajouta, comme il sortait son membre dur et y glissait le préservatif. "Et moi... je te plais ?"

"Uhhh-uhhh !"

"Uhhh-uhhh ? C'est tout ?" lui demanda Freddy avec un gloussement. "M'aimes-tu ou pas ? Ça te plaît de le faire avec moi ou pas ?"

"Sinon je ne serais pas ici à te laisser faire..." murmura Dave. "Bien sûr, je t'aime. Je ne le croyais pas... Que j'aurais pu le faire avec toi. Ohhh... Oui... oui..." murmura-t-il alors, tandis que Freddy commençait à le lui pousser dedans.

Freddy lui enfila les mains sous la chemise, sur la poitrine, et lui frotta et pinça doucement les mamelons tout en s'enfonçant lentement mais avec détermination en lui. Dave poussa son derrière et l'agita un peu, comme pour le faire rentrer plus, bien que cela ne soit pas possible.

Puis il murmura : "Allez !"

Freddy alors se lança dans une chevauchée vigoureuse, sentant le plaisir se renforcer rapidement en lui. Les deux soulignaient cette union forte avec des gémissements et des glapissements, presque dans un contrepoint de plaisir. "Oh, Dave... tu... aimes ?"

"Oui..."

"C'est bien, juste bien de le faire avec toi..."

"Oui..."

Freddy accéléra le rythme de ses poussées, en commençant à haleter plus fort pour le plaisir qui envahissait de plus en plus tous ses membres et lui émoussait l'esprit.

"Oh, Dave... Je suis... Je me... voiiilààààà..." il gémit bruyamment, et commença à se décharger, profondément immergé dans le canal chaud et étroit, avec une série de poussées énergiques. Puis il arrêta, haletant, encore profondément plongé dedans. Il retira ses mains de sous sa chemise, les plaça sur son visage et le fit tourner jusqu'à ce que leurs lèvres se rencontrent à nouveau et s'unissent dans un baiser passionné et intime.

Puis il le laissa lentement, se détacha de lui en faisant ainsi glisser dehors le membre qui commençait à revenir au repos. Il retira le préservatif et le lança dans la mer. Avec un mouchoir, il essuya son membre et le remit en place, tandis que Dave aussi remettait en ordre ses habits.

Lorsque Dave se tourna, Freddy le reprit entre ses bras et l'embrassa à nouveau, tendrement.

"C'est fini bien trop vite..." murmura Dave.

"Oui... mais demain matin, tu viens à notre camping-car, pas vrai ? Alors on le refera encore... avec plus de calme."

"Bien sûr."

"Dommage que tu doives rentrer à la maison, que tu ne puisses pas passer la nuit avec moi..."

"Ouais. Bien que... "

"Bien que ?"

"Je crois que tu ne me laisserais pas dormir, si j'étais au lit avec toi." rit Dave.

"Et ça t'embêterait ?"

"Eh bien ... je pense que, vraiment pas... Je voudrais passer au moins une nuit avec toi. Mais je ne sais pas comment le justifier auprès des miens."

"Mais tu es majeur, non ?"

"Qu'est-ce que cela signifie ? Je suis toujours totalement dépendant de mes parents, et donc... Je n'ai pas du tout ta chance, que les tiens savent et que cela leur va bien."

"Ouais. Mais tu ne pourrais pas dire que tu as rencontré une fille et que donc..."

"Non, cela ne fonctionnerait pas. Ce n'est pas qu'ils soient puritains, mais... mais aussi pour cela ils disent que je suis encore trop jeune..."

"Et je parie qu'eux, cependant, à ton âge baisaient déjà joyeusement." dit Freddy avec un sourire malicieux.

"Peut-être. Mais il semble qu'en vieillissant ils oublient comment ils étaient à notre âge. Mais je ne sais pas. Chez nous, nous ne parlons jamais de sexe, pas même par des allusions ou des sous-entendus. Il vaut mieux que nous partions maintenant. Je ne veux pas rentrer trop tard..."

Freddy regarda sa montre : "Il n'est pas trop tard. Au contraire, il est tôt : c'est seulement une heure du matin..." dit-il en plaisantant.

"Idiot ! On y va ?"

"Très bien. Mais tu viens ce matin, non ?

"Je te l'ai dit."

Ils partirent lentement le long de l'appontement vers la ville. Ils marchaient côte à côte, sans même se toucher, mais de temps en temps ils se regardaient et échangeaient un sourire.

"Mais..." Dit Dave à un moment donné, mais ne continua pas.

"Mais ?"

"J'aime mieux quand tu me le mets par devant. Ça me plaît de te regarder pendant que... "

"Eh bien, si tu me l'avais dit, nous aurions pu le faire sur le banc."

"Non, on ne pouvait pas."

"Pourquoi ?"

"Et qui regardait si par hasard quelqu'un venait ?"

"Ah... eh bien..." dit Freddy en haussant les épaules.

"Pour toi peut-être tu ne t'en soucies pas, parce que tu ne vis pas ici. Mais moi j'y vis. Et les miens aussi. Je ne peux pas risquer..."

"Dans le camping-car nous pouvons le faire comme tu aimes. Moi aussi j'aime mieux te le mettre par devant. Mais j'ai aimé aussi comme plus tôt."

"Je ne dis pas non. Eh bien, salut, alors. Bonne nuit. "

"Nuit. Je voudrais t'embrasser..."

"Pas ici entre les maisons !"

"Mais oui, je sais. Fais comme si je t'avais embrassé."

Dave sourit et hocha la tête. Ils firent un dernier geste de salutation avec la main et chacun prit son propre chemin.

Freddy arriva au camping-car. Les lumières à l'intérieur étaient éteintes, tout était calme. Il entra en essayant de ne pas faire de bruit. Le rideau était tiré devant la couchette de Joy et Douglas, au-dessus de la cabine de pilotage. Son lit était déjà prêt. À la douce lueur de quelques réverbères hors du camping, Freddy se déshabilla et se coucha.

Pendant qu'il attendait que le sommeil arrive, il repensa à Dave. Il l'aimait. Même la façon dont il faisait l'amour. Il avait un beau corps, mais surtout, un beau sourire. Il pensait que c'étaient les plus belles vacances de sa vie. Bien sûr ! Il avait aimé le faire là sur l'appontement. Peut-être à cause du risque qu'il pouvait arriver quelqu'un. Ou peut-être en raison de le faire en plein air, la mer, tandis que les vagues lapaient légères sous l'appontement.

Il entendit un léger bruit et regarda : Douglas, portant seulement son slip, descendait l'échelle de la couchette, passa à côté de son lit et Freddy lui fit un signe de salut avec son bras. Douglas répondit et alla rapidement aux toilettes. Freddy eut le temps de voir le slip du compagnon de sa mère tendu par l'érection et sourit.

Après un certain temps, il entendit l'eau couler, puis Douglas sortit de la toilette. Il s'arrêta à côté du lit de Freddy.

"Tout va bien, champion ?" demanda-t-il à voix très basse.

"Bien sûr."

Douglas s'assit sur le bord du lit et Freddy se recula un peu pour lui faire de la place.

"Il te plaît Dave, hein ?"

"Oui, je l'aime bien. Demain matin, il vient à nouveau. Je l'attends ici, pas sur la plage."

"Alors nous deux, on doit aller à la plage rapidement, pour vous permettre de baiser en paix." rigola Douglas.

"Qu'est que tu as à rire ? Comme si toi et maman ne baisiez pas assez souvent."

"Nous ne sommes pas encore vieux, non ? Bien sûr que nous baisons souvent, et nous aimons bien le faire. Ton Dave me plaît."

"Il n'est pas mon Dave. Il est juste une aventure estivale. Quoi qu'il en soit, je l'aime bien. Oui."

"La chose importante est qu'il te plaise à toi. Pour moi, il est tabou."

"À cause de maman ?"

"Même pour toi. Mais pour Joy, bien sûr."

"Il ne te vient jamais l'envie de... de la trahir ?"

"Non. Je suis trop bien avec elle, je ne sens le besoin d'aucun autre."

"Mais c'est une femme..."

"Je dirais que oui." rigola Douglas.

"Je veux dire... tu aimes les hommes aussi, non ? Ils ne te manquent pas ?"

"Non. Pas tellement, du moins. Elle me donne tout ce qu'il me faut, à la fois sexuellement et autrement. Je l'espère pour elle aussi."

"Je pense que oui. Pourquoi, as-tu des doutes ?"

"Non... Mais peut-être, on doit toujours se demander, pour s'assurer qu'on fait de son mieux, ne penses-tu pas ? Bon, maintenant il vaut mieux que je retourne, ou Joy, si elle se réveille, se demande où je suis. Dors bien."

"Ca me plairait que Dave puisse passer la nuit ici. Au moins une fois. Mais il dit qu'il ne sait pas comment le justifier avec les siens. Ils ne soupçonnent rien de lui."

"Oui, il nous l'avait dit. Oui, je te comprends. Même sans rien faire, il est beau de se sentir proche de la personne que tu aimes, qui t'aime."

"Nous ne sommes pas amoureux, Dave et moi. Nous sommes tout simplement bien ensemble."

"Si vous êtes bien ensemble, vous vous aimez au moins un peu, non ? Aimerais-tu avoir ici... quel est son nom... ce serveur ?"

"Non, pas lui."

"Exactement, tu vois ! Eh bien, dors bien, champion." dit Douglas ; il se leva, gravit rapidement les échelons et disparut derrière le rideau.

Freddy entendit la voix endormie de la mère murmurer : "Où étais-tu allé ?"

"Aux WC, sœur, aux WC. Dors, allez. J'espérais ne pas te réveiller..." répondit Douglas dans un murmure.

"Freddy est rentré ?"

"Oui, il est déjà au lit."

"Aimes-tu ce garçon ?"

"Qui, Dave ? Je dirais que la chose importante est qu'il plaise à Freddy, sœur."

"Eh bien, oui. Quoi qu'il en soit, je l'aime bien..."

"Tâchons de dormir, allez." Douglas qui imaginait que Freddy était encore éveillé et pouvait les entendre, coupa court.

Freddy sourit. Il se tourna sur son côté, face à la paroi en essayant de s'endormir. Il avait toujours à l'esprit ce qu'il avait fait avec Dave là sur l'appontement et souriait satisfait. À ces pensées se mélangea la prévision de ce qu'ils feraient là, sur ce lit, le lendemain matin, et son sourire s'accentua, alors qu'il lui venait une légère érection. Il s'endormit avec ces images agréables à l'esprit.

Le lendemain matin, il fut réveillé par de légers bruits. Il entendit sa mère parler.

"... le réveiller ? Ainsi, il s'habille pendant que je fais le petit déjeuner."

"Mais non, laissons-le dormir."

"Mais il doit manger, venir à la plage, non ?"

"Non, je pense qu'il a un rendez-vous ici avec Dave."

"Bon, mais de toute façon..."

"Laisse-lui son petit déjeuner... et laisse-le en paix, ma sœur."

Joy soupira, mais presque tout de suite Freddy entendit le faible bruit d'un baiser et sourit. Il se demanda s'il se levait ou non, puis il fit semblant d'être encore endormi et attendit que Douglas et Joy sortent.

Quand il fut enfin seul, il ouvrit les yeux et s'étira, encore couché sur le lit. Puis il se leva pour s'asseoir. Il regarda sur le comptoir de cuisine et vit le plateau avec son petit déjeuner prêt. Il enleva le drap froissé et se leva. Il se rendit d'abord à la salle de bain se vider, se lava, s'essuya, mit la serviette sur le lit et alla prendre le petit déjeuner avant qu'il ne refroidisse.

Il avait juste fini de manger, quand il entendit frapper doucement à la porte du camping-car. Il alla ouvrir, nu comme il était, puis il se dit que ça pouvait ne pas être Dave, donc il prit la serviette encore légèrement humide et la ceignit. Il alla ouvrir et se trouva en face de Dave.

"Salut." dit celui-ci, en le regardant de la tête aux pieds, puis il murmura : "Wow ! Tu es vraiment sexy. Puis-je entrer ?"

"Qu'en dis-tu ?" demanda Freddy avec un sourire se déplaçant sur le côté pour le laisser passer.

Dès que Dave fut à l'intérieur, Freddy ferma la porte avec les deux loquets. Dave se retourna et le prit dans ses bras.

"Je ne pouvais plus attendre d'être ici..." murmura-t-il le regardant avec un sourire chaleureux, puis il poussa son visage en avant pour l'embrasser.

Freddy, en rigolant, tourna la tête légèrement et dit : "Mais alors, ça ne t'a pas suffit la nuit dernière..."

"Avec toi ? Ça ne me suffit jamais." dit Dave avec un sourire espiègle et tentant encore de l'embrasser sur les lèvres.

"Et puis tu le dis à moi ! Tu sais que tu plais à ma mère ? Et même à Douglas ?"

"Pourquoi, pas à toi ?" demanda Dave, lui dénouant la serviette et la laissant glisser sur le sol. Il lui caressa légèrement le membre déjà à demi-dressé.

"Ce n'était pas nécessaire de le dire..." murmura Freddy, qui finalement ne se déroba plus au baiser de son camarade.

Leurs langues jouèrent, d'abord légèrement, puis de plus en plus intimement, tandis que les mains de Freddy commençaient à lui déboutonner son short jusqu'à ce qu'il le lui glisse jusqu'aux chevilles. Alors il se recula légèrement de lui et commença à lui soulever lentement son T-shirt à partir des hanches. Dave leva les bras pour que Freddy puisse l'enlever complètement, et ses mains battirent contre le plafond. Ils rirent tous deux. Dave ôta les sandales de plage et sortit de son short, puis il alla pour baisser le maillot qu'il portait encore.

"Non," Freddy l'arrêta, "laisse-moi faire. J'aime te déshabiller. Chaque fois c'est comme... un peu comme l'ouverture d'un paquet cadeau."

"Eh bien... enlève-le toi, alors..."

"Oui, dans un moment..." Freddy chuchota, caressant le renflement qui tendait son maillot devant.

Ils s'embrassèrent à nouveau, tandis que leurs mains se déplaçaient sur tout le corps de l'autre, déclenchant leur excitation et suscitant le plaisir mutuel.

"Sais-tu que tu embrasses bien ?" murmura Dave, son visage légèrement rougi par l'excitation croissante.

"Mhmh. Toi aussi. As-tu eu ton petit déjeuner ?"

"Hein ? Ah, oui... même si j'ai encore faim..."

«Veux-tu que je te prépare quelque chose ?"

"... faim de toi." conclut Dave.

"Oh ! Eh bien, je vais essayer de te rassasier, alors. Viens." Dit-il en le poussant vers le lit.

Avant de s'y asseoir, il baissa le maillot de bain en enfilant ses doigts sur les côtés. Le membre dur de Dave pendant un instant sembla entraver la descente du dernier vêtement, puis il sauta droit et libre. Freddy rit et tandis que Dave s'asseyait sur le bord du lit, se pencha pour terminer de lui enlever le costume, alors il lui fit écarter les jambes, se glissa au milieu, sur ses genoux, et commença à lui manipuler le membre et les testicules, en y approchant lentement le visage.

"Non... viens sur le lit toi aussi. Nous faisons un bon soixante-neuf." lui dit Dave le prenant sous ses bras et le tirant vers lui, il glissa avec son cul en arrière sur le lit. "Pour commencer." ajouta-t-il et il se coucha en le tirant sur lui-même.

Ils s'embrassèrent à nouveau, puis Freddy se tourna à quatre pattes sur le corps de son compagnon et, goulûment, chacun aboucha le membre de l'autre. Alors qu'il était occupé sur le beau membre de Dave, ses doigts commencèrent à fouiller entre ses fesses. Dave plia en haut les genoux les écartant pour lui donner plus facilement accès. Sans arrêter de le sucer, Freddy humecta de salive les doigts et retourna à fouiller dans le sillon jusqu'à repérer le chaud bourgeon de chair, qu'il commença à titiller avec art. Dave, sans cesser de le sucer, gémit son plaisir à ces manœuvres savantes.

Après un certain temps, Dave se détacha et murmura : "Oh... Freddy... ainsi tu me fais mourir... Mets-le moi, allez..."

"Hey, qu'est-ce cette précipitation ! Attends une minute..." dit Freddy, qui prit un préservatif et se le mit, puis se mit en place pour le satisfaire. "Oui, me voilà..." dit-il en commençant à lui frotter la pointe du membre dur sur la rosette de chair palpitante.

Dave encercla sa taille avec ses jambes et le tira vers lui. "Allez, allez..."

Freddy commença à pousser et le sentit s'entrouvrir pour l'accueillir. Pendant qu'il s'enfonçait en lui, l'envahissant peu à peu, d'un seul coup calibré et continu, le visage de Dave s'ouvrit dans un sourire radieux, ses yeux brillaient et il laissa échapper un doux et long "oui...". Il leva les bras et avec les pointes de ses doigts il commença à lui taquiner légèrement les mamelons.

"Ça te plaît, hein ?" Lui demanda Freddy.

Dave hocha vigoureusement la tête.

Quand il lui fut complètement à l'intérieur, après une courte pause Freddy commença un calme et profond va-et-vient, en regardant les réactions sur le beau visage de son compagnon. Il pensait qu'il aimait bien la joie avec laquelle Dave le recevait en lui. Il pensait qu'il n'aurait pas pu dire s'il préférait le lui mettre ou se le faire mettre... Mais bientôt il ne pensa plus à quoi que ce soit, tellement le plaisir croissait de plus en plus, et il sentit son esprit se voiler.

Avec chaque poussée, sa colonne de chair ferme frottait sur la prostate de Dave, qui chaque fois émettait un court et chaud gémissement de plaisir. Son membre était dur et droit et la pointe palpitait, frottant légèrement sur le ventre de Freddy, qui se pencha sur lui, ses mains appuyées sous les aisselles de Dave. Leurs yeux ne se quittaient pas, comme magnétisés, disant à l'autre combien était intense, et de plus en plus fort, le plaisir que tous deux étaient en train de se donner.

Et tout à coup, pour la première fois sans s'être touché, Dave éclaboussa sa charge contre le ventre et la poitrine de Freddy. Tous ses muscles se tendirent et se détendirent rapidement dans une longue séquence, même ceux de son sphincter, et cela également causa presque immédiatement l'orgasme de Freddy, qui déchargea en lui avec un long gémissement tremblant de plaisir.

Pendant un instant, ils restèrent immobiles, haletants. Puis, Freddy fut sur le point de retirer son membre encore dur de la chaleur du canal du compagnon.

Mais Dave à nouveau lui serra la taille avec ses jambes, vigoureusement.

"Non... laisse-le encore en moi, s'il te plaît... jusqu'à ce qu'il sorte tout seul..." Demanda-t-il dans un murmure, sa voix encore un peu rauque à cause de l'orgasme intense qu'il venait d'avoir.

Freddy hocha la tête et lentement se laissa aller sur le corps de Dave. Ils s'embrassèrent en attendant que leurs cœurs reviennent battre au bon rythme, que leur respiration revienne à la normale comme ils se relaxaient.

"Cela me plaît beaucoup de le faire avec toi." murmura Freddy doucement en lui caressant une joue.

Dave hocha la tête.

Le membre glissa hors du canal accueillant de Dave. "À quoi tu penses ?" lui demanda Freddy glissant à côté se désenfilant le préservatif, qu'il mit sur une serviette en papier.

"Que nous avons encore si peu de jours... moins d'un mois ; en effet, moins de trois semaines."

Freddy le serra entre ses bras de nouveau, et ils entrelacèrent leurs jambes. Leurs visages se touchaient. "N'y pense pas. Profitons des jours qui restent."

"On va à la plage ?" Lui demanda Dave peu après.

"Comme tu veux." dit Freddy se séparant de lui et descendant du lit.

Il alla aux toilettes pour jeter le préservatif, et se nettoyer, tandis que Dave se rhabillait. Il mit son maillot de bain, une paire de shorts et un T-shirt. Dave était occupé à la porte pour ouvrir les deux verrous. Freddy arriva à lui par derrière et entoura sa taille, le tirant à lui

"Attends..." dit-il le faisant tourner, et il l'embrassa.

Dave rendit le baiser avec plaisir, se poussant contre lui. "Tu me donnes envie de recommencer..." murmura-t-il.

"Si tu veux... on retourne au lit..."

«Il ne vaut mieux pas. Mieux vaut ne pas exagérer."

"Il ne me semble pas que nous exagérons..." rigola Freddy comme ils sortaient.

Ils allèrent à la plage. Quand ils y arrivèrent Joy les accueillit avec un joyeux : "Oh, vous voici enfin. Je pensais que vous étiez trop occupés et que vous nous aviez oubliés... "

Dave rougit légèrement.

"Tu fumes ?" lui demanda Douglas, lui offrant une cigarette.

"Non, merci." dit Dave s'asseyant sur la serviette de plage que Joy avait étendue pour les deux garçons à côté d'eux.

"Bravo ! Nous deux, nous ne pouvons pas arrêter..." dit Douglas, allumant une cigarette.

Joy tendit une main, Douglas lui donna la cigarette à peine allumée, et il en prit une autre pour lui-même.

"Eux deux préfèrent faire autre chose..." dit Joy avec un sourire.

Dave rougit encore.

"Maman ! Veux-tu t'occuper de tes oignons, s'il te plaît ?" protesta Freddy.

"De toute façon..." dit Douglas avec un sourire, il prit une bouffée de fumée et continua, "... n'est-ce pas que toi et moi... nous ne faisons pas autre chose, sœur !"

"Je parie que vous n'arrêtez pas de fumer, même quand vous faites... l'autre chose." rit Freddy.

"Veux-tu penser à tes oignons, s'il te plaît ?" dit Joy en imitant son ton.

"Vous n'allez pas vous baigner ?" demanda Douglas aux deux garçons.

"Vous y êtes déjà allés ?" demanda Freddy, se levant et hochant la tête à Dave.

"Bien sûr, et assez longuement, en vous attendant !" dit Joy.

Les deux garçons s'enlevèrent leurs shorts et T-shirts et allèrent vers la ligne de flottaison. Peu avant de plonger, Freddy dit : "Maman... elle gonfle parfois avec ses commentaires."

"Mais non..."

"Elle t'a fait rougir deux fois."

"C'est juste que... que je ne suis pas habitué à parler comme ça... de ces choses. Mais ça ne me dérange pas. En fait, cela me plaît qu'ils en parlent d'une façon si... si naturelle."

Ils plongèrent et s'éloignèrent de la rive à vigoureuses et rapides brassées, côte à côte, se sentant libres et heureux.