ON NE S'EST JAMAIS DIT "JE T'AIME" |
CHAPITRE 14 Enfin père |
Toute la famille était en fête : Cecilia avait sauté les menstruations, elle devait donc être enceinte. Tout le monde célébrait mais surtout Libero, à l'idée de devenir enfin père. Le ventre de Cecilia commença à grandir de manière de plus en plus évidente, et, à entendre sa mère Gemma, plus encore que la «normale». La grossesse alla en avant sans problèmes, et Gemma dit à sa fille qu'elle avait la chance de ne pas avoir des nausées, des vomissements, comme elle avait par contre eu à chacune de ses grossesses. Libero aimait caresser le gros ventre de la mère, parfois il y posait dessus, léger pour ne pas lui peser, sa joue. Aussi quand ils décidèrent qu'il était plus sage d'éviter les rapports sexuels, ce qui sincèrement ne pesa pas trop à Libero, quand ils étaient dans le même lit, il aimait caresser son ventre, presque comme s'il pouvait déjà caresser son fils, ou sa fille, qui bientôt serait né. Finalement ils appelèrent la sage-femme et vint le jour de l'accouchement. Libero fut envoyé dans la cuisine, avec son beau-père, pour faire bouillir l'eau dans deux pots, l'un avec dedans des morceaux de toile, tandis que la sage-femme et la mère assistaient Cecilia dans la chambre. Cecilia et Libero avaient décidé que si un garçon naissait il serait nommé comme le père de Libero, c'est à dire Massimo, mais si naissait une fille ils l'appelleraient Gemma, respectant ainsi les coutumes locales. "Il n'est pas encore né..." dit Libero un peu inquiet. "Oh, on ne peut pas avancer l'horloge ! Les fils sortent quand ils le veulent, pas quand nous voulons. Il pourrait être déjà en train de sortir, ou plutôt peut-être il faut attendre encore plusieurs heures." dit le beau-père, avec le ton d'un expert. Mais à ce moment la sage-femme entra dans la cuisine : "C'est fait, ils sont sains et beaux. L'eau chaude et les chiffons sont prêts ?" "Sains et beaux ? Vous voulez dire... c'est des jumeaux ?" demanda Libero avec de grands yeux. "Oui, deux beaux petits garçons." dit la sage-femme avec un beau sourire. "Donnez-moi la marmite avec les chiffons, puis je reviens chercher l'autre." "Je ne peux pas venir les voir?" demanda Libero, ému. "Attendez qu'ils soient présentables. Vous, les hommes vous nous importuneriez, là. Pour l'instant, c'est une affaire de femmes. Soyez patient, monsieur Norzi, qu'alors vous pourrez en profiter même si vous n'en avez pas envie." dit la sage-femme, en revenant dans la chambre à coucher. "Deux! Deux garçons !" dit Libero radieux, se tournant pour regarder son beau-père. "Fatigue double à les élever. Et dépense double. Lorsque ils naissent un après l'autre, on passe les vêtements du premier au second. Donc, tu dois acheter tous les vêtements au double." déclara l'homme. "Mais qui s'en soucie ! Après tout, ce n'est pas que nous manquons d'argent, nous pouvons certainement nous le permettre." répondit Libero, trop heureux pour se laisser démonter par son beau-père. Quand ils allèrent à l'église pour baptiser les jumeaux, l'un a fut appelé Massimo comme convenu, et l'autre Maurizio, comme le père de Cecilia. Dès les premiers jours Libero voulut prendre soin d'eux, leur changer les couches, les laver. Cecilia lui avait dit : "Mais quoi, ce sont des travaux de femme, de la mère, qu'est-ce que t'en connais de ces choses ?" "Comment tu as appris, je peux certainement l'apprendre !" coupa court Libero. Parfois Libero aimait rester étendu sur le lit matrimonial, torse nu, les jumeaux un à droite et un à gauche, à côté de lui et juste dessous les aisselles pour qu'ils puissent reposer les têtes blondes entre le bras et la poitrine. Quand Cecilia dit à sa mère que Libero voulait s'occuper des enfants, la mère lui dit : "T'as de la chance, oui, au moins tu t'enlèves un peu de travail, qui serait double comme t'en as fait deux ensemble. T'as de la chance, oui, car Libero est un bon garçon, pas du tout comme ton père qui ne s'est jamais occupé de vous les enfants... sauf pour vous punir quand vous faisiez une niche. Et quand tu les sèvreras et que vous commencerez à leur donner la nourriture pour bébé, c'est préférable si vous êtes deux et pas toi seule, ma fille." Personne ne distinguait les deux jumeaux, pas même leur mère, mais Libero avait remarqué quelque chose par laquelle il pouvait les distinguer sans jamais se tromper. Pour les distinguer ils avaient mis à Massimo un bracelet d'or sur son poignet droit et à Maurizio sur le poignet gauche. Même lorsque Cecilia faisait en sorte que son mari ne vît pas les poignets de leurs enfants, Libero ne s'était jamais trompé. Lorsque Cecilia, après les avoir sevrés, recommença à servir dans le bazar, Libero prenait soin des enfants, même plus qu'avant. Il était ravi de noter chaque petite chose dans leur croissance. Il avait remarqué que vers le cinquième mois, ils pouvaient donner des expressions faciales soit de chagrin soit de plaisir et que les gazouillis vocaliques habituels étaient remplacés par des syllabes simples prononcées pour exprimer la joie, le commandement ou le dépit. Vers le huitième mois, les petiots commençaient à indiquer les objets, à se retourner pour voir qui parlait, et faire de vraies roulades. Ils avaient environ dix mois quand il répondaient à l'appel de leur nom, et ils étaient arrivés à distinguer quand on appelait Massimo ou Maurizio ! Ils avaient de peu achevé un an d'âge, quand ils appelèrent «papa !» pour la première fois pour le grand plaisir et la fierté de Libero... et «maman», seulement quelques semaines plus tard. Ils avaient environ un an et demi quand ils commencèrent à articuler les premières phrases rudimentaires comme "maman pa'tie", "moi lolo", "pas faire dodo" et ainsi de suite. Mais ce que Libero remarqua, fut aussi l'évolution de l'odeur des fils, dont il se délectait aussi : avant ou après le bain, quand ils ne se portaient pas bien, au fur et à mesure qu'ils grandissaient, et il sentait quand ils avaient fait pipi ou caca dans la couche, toujours bien avant sa femme. Il aimait aller se promener pour le pays se pavanant avec les deux enfants un par bras, sans se soucier du fait que certaines personnes le critiquaient pour ce qu'ils considéraient comme pas «digne» pour un homme ! Lorsque les jumeaux commencèrent à faire leurs premiers pas, Libero en était en extase, les encourageait, les soutenait et les contrôlait pour qu'ils ne se fassent pas mal. Quand ils furent assez grands, il commença à faire le bain avec eux, en jouant dans l'eau tiède, en éclaboussant partout et puis en se soumettant volontiers à la corvée de nettoyage de telle sorte que Cecilia ne grommelât pas. Il avait recommencé depuis quelque temps à avoir des rapports sexuels avec sa femme... et avec cela revint le regret de ne pas pouvoir le faire avec Alfredo. Un jour, alors qu'il se trouvait dans le petit jardin municipal avec les deux petits qui fouinaient sur la pelouse à côté du banc sur lequel il s'était assis, un conscrit, qu'il reconnut être le fils du cordonnier, vint s'asseoir à côté de lui, le saluant d'un geste. Ils ne se connaissaient que de vue, avant que le garçon fût appelé sous les armes ils avaient échangé à peine plus que quelques salut. "En permission, Pietro ?" lui demanda Libero. "Oui, pour cinq jours." "Comment c'est la vie militaire ?" "Comment tu veux qu'elle soit... barbante ! Mignons, tes jumeaux." "Vraiment ?" dit Libero orgueilleux. "Et je trouve ça mignon que tu t'en occupes ainsi, comme... comme une mère." "Comme un père, je dirais." répliqua Libero avec un sourire. "Aucun père n'a jamais traité ses enfants comme tu le fais..." "Eh bien, je serai le premier. C'est bien trop agréable de s'occuper d'eux, pour y renoncer." "Ils sont beaux. Et ils te ressemblent : ils sont beaux comme leur père." Libero le regarda légèrement surpris, mais puis il hocha la tête et sourit. "Bienheureuse ta femme qui s'est mariée avec un homme comme toi. Les autres peuvent même te critiquer, mais je t'admire. Je t'admire, oui, et... et... et j'envie ta femme." Libero fronça les sourcils et le regarda surpris, pour la deuxième fois. Le jeune homme, imperturbable, continua : "Dommage que j'ai encore une année de service militaire... Ça me plairait si toi et moi on pouvait devenir amis... J'aimerais arriver à te connaître... plus intimement." Dit-il en le regardant dans les yeux. Bien que Libero soit un homme profondément naïf, il saisit immédiatement le possible sous-entendu implicite dans ces mots. Presque dans un murmure, il demanda : "Intimement ?" "Oui. Je crois que ce serait bien si nous pouvions devenir amis... ou mieux... plus qu'amis." "Mais qu'est-ce que cela signifie pour toi de devenir... plus qu'amis ?" lui demanda Libero, en le scrutant. "Amis... Eh bien, deux amis bavardent volontiers ensemble..." "Nous sommes en train de le faire..." "Oui, et ils sont bien quand ils sont ensemble..." "Ben, bien sûr..." "Et aussi... ils jouissent pour les mots de l'ami et pour ce qu'il fait... comme maintenant à te voir que tu t'occupes si tendrement des petits." "Oui ?" "Oui. Mais puis... puis aussi trouver réconfort... consolation... soulagement dans l'ami quand ils ont des problèmes." Libero à ce moment pensa à Alfredo et il se dit que c'était vraiment ainsi, donc il hocha la tête. Pietro continua : "Être amis c'est même découvrir qu'on est d'accord en tout, l'un avec l'autre." "Ceci est certainement le plus difficile... mais si on est amis, il devrait en être ainsi, je crois." "Et même partager... les désirs... les plaisirs... et l'intimité, comme je disais. Cette intimité que seuls deux hommes peuvent avoir, qui est plus grande et plus spéciale que celle qu'il peut y avoir entre mari et femme..." "Et tu voudrais ceci, avec moi ?" demanda Libero, toujours à voix basse. "Oui, ceci... si toi aussi tu le veux." "Plus qu'entre mari et femme ?" "Bien sûr, plus. Entre deux hommes on peut faire naître une intimité qui ne sera jamais possible entre un homme et une femme, à mon avis." "Mais... ce serait une sorte de... d'intimité que personne n'approuverait, si je comprends bien ce que tu es en train de penser." "Il suffit que les autres ne le sachent pas, non ? L'intimité on la met jamais en public." "Surtout si elle est entre deux hommes..." Libero hocha la tête, et en regardant le garçon il commença à se sentir excité, il se rendit compte qu'il commençait à le désirer. "Si seulement entre toi et moi il pouvait y avoir une chance de... de rester un peu seuls... Ça ne te plairait pas ?" Libero, presque sans y penser, hocha la tête. Pietro sourit. "Ça ne sera guère facile, mais..." dit l'homme. "Et puis... où et comment ? Et quand ?" "Toi, quand tu pourrais avoir un peu de temps ?" lui demanda Pietro. "Demain matin, je dois prendre la camionnette et aller en ville pour faire les achats pour le bazar..." "Alors, je pourrais t'attendre le long de la nationale... qu'en dis-tu ?" "Oui, mais alors quoi ? Où nous nous mettrons pour... pour être tranquilles ?" Pietro sourit : "La camionnette de ton beau-père a une bâche, n'est-ce pas ? Il suffit que dessous il y ait une toile... une couverture... quelques sacs vides, que sais-je... Et puis il suffit que tu gares sur le côté de la nationale..." À ce moment Libero était très excité, il sentait son membre dur pousser contre ses habits, palpiter... Il se sentait le corps en feu. Il hocha la tête, lentement, à plusieurs reprises, comme s'il considérait la proposition et répondait qu'on pouvait le faire. Enfin, il dit : "Je vais passer sur la nationale vers huit heures du matin. Si tu m'attends à la courbe juste avant le pont... tu sais, où il y a le pylône de Saint Roch..." "Je serai là, pour sûr. C'est à une bonne distance du pays, mais je le ferai volontiers. Et là nous serons assez loin du pays... C'est bon." "Il y a là l'ancienne route menant à la carrière, que personne ne prend plus, car elle ne conduit ni aux champs ni à des maisons..." lui fit remarquer Libero. "Bien, tu as raison. Et alors, ne m'attends pas au pylône, va directement avec la camionnette jusqu'à ce qu'on ne voit plus la nationale. Tu me trouveras là à t'attendre..." dit Pietro, en se levant avec une expression satisfaite. Il lui fit un signe de salut et partit. Libero était excité. Pendant un moment, il pensa que s'il allait avec Pietro il «trahirait» Alfredo, mais après tout Alfredo le faisait avec le comte... Le jeune homme ne pensa même pas un instant qu'en ayant des rapports sexuels avec Pietro il trahissait sa femme. S'il avait été avec une fille, il l'aurait pensé certainement, mais pour lui le faire avec un homme n'était pas trahir sa femme. Le matin suivant, quand il alla prendre la camionnette, il s'assura qu'il y avait aussi quelques sacs vides à l'arrière. Il monta, démarra la voiture et quitta le pays. Il prit la nationale, passa le pont, atteignit le pylône de San Roch et tourna sur la route de terre menant à l'ancienne carrière, allant plus parmi les arbres. Après quelques virages serrés il vit Pietro debout sur le côté de la route, qui l'attendait et qui, quand le vit, le salua avec un bras et lui sourit. Libero descendit du siège du conducteur, contourna la camionnette et Pietro était déjà allé là derrière. Ils escaladèrent le bord de la benne, glissant sous la bâche arrière et ils furent à l'intérieur. Aucun des deux n'avait dit un seul mot. Ils s'agenouillèrent sur les sacs et commencèrent à se déshabiller, chacun pour son compte, en se regardant et souriant, anticipant ce qui allait arriver. Quand ils furent nus, les deux étaient déjà pleinement excités. Pietro se déplaça devant lui, l'enlaça et l'embrassa presque sauvagement, frottant son membre dur contre celui de Libero. Puis Pietro le poussa pour le faire se coucher, se pencha sur lui et se mit à sucer ses mamelons. Libero gémit de plaisir. Pietro descendit plus bas, s'arrêtant pour taquiner le nombril avec le bout de la langue, puis descendit encore et prit en bouche le membre droit et dur de Libero. "Hé, mais que fais-tu !" protesta-t-il en se soulevant, tout à coup assis. Pietro se détacha de lui et le regarda surpris : " Ça ne te plaît pas ?" "Non... je ne sais pas... peut-être que oui, mais... mais ça ne te rend pas malade de faire une chose comme ça ?" "Ne me dis pas que tu ne l'as jamais fait..." "Certainement que je ne l'ai jamais fait ! Mais ça ne te dégoûte pas ?" demanda-t-il à nouveau. "Tu penses que je ferais quelque chose qui me dégoûte ? Ça me plaît... et si tu me laisses faire, tu verras que tu vas toi aussi bien aimer." "Mais qui t'a appris ?" "Sous les drapeaux. Il y a quelques messieurs qui nous paient nous soldats pour baiser... et ils te disent ce que tu dois faire, selon combien ils payent, bien sûr... Nous sommes nombreux à le faire, nous les soldats, même ceux qui aiment aller avec les femmes, mais ils le font pour gagner de l'argent... Pour ceux qui aiment les hommes comme à moi, au delà d'y gagner, nous nous amusons... " "Et tu dis que tu aimes la sucer ?" "Bien sûr. Il suffit de l'essayer pour croire !" "C'est à dire... tu veux que je le fasse, moi aussi à toi ?" "Personne ne te force, mais si tu ne le fais pas tu ne sais pas ce que tu perds. Et il me plait aussi de boire le foutre, quand tu jouis..." "Eh bien... J'aime l'odeur... alors peut-être le goût ne doit certainement pas être mauvais... Je pourrais essayer, oui..." "Mais tu... peux tu venir deux fois ?" "Juste deux fois de file, je ne crois pas. Mais si tu viens avec moi pour faire les achats, au retour on peut revenir ici et le faire de nouveau..." "Parfait ! Alors maintenant, on se suce et nous jouissons ainsi, dans la bouche l'un de l'autre en même temps. Ensuite, sur le chemin du retour, nous allons aussi nous la mettre dans le cul. Tu aimes la mettre et la prendre aussi, j'espère..." "Certainement, toutes les deux choses." répondit Libero. Ils s'étendirent ainsi sur les sacs, sur leurs côtés un devant l'autre et tête-bêche. Pietro tout de suite pris en bouche le membre de Libero. Celui-ci le prit entre ses mains, en approcha son visage et sentit l'odeur : il pensa que c'était bon, alors il commença d'abord à en lécher la pointe, presque timidement. La sensation était agréable, contrairement à ce qu'il craignait. Ce qu'il sentait à être sucé par Pietro était plus qu'agréable... Alors il se décida et, en imitant son compagnon, se mit à sucer le membre. C'était agréable, oui, et il en respira l'odeur qui était aussi très agréable. Pendant qu'ils se suçaient mutuellement, ils se caressaient sur tout le corps aussi, se taquinant réciproquement les mamelons, et le plaisir augmentait rapidement. Pietro s'écarta de lui un moment pour lui dire de ne pas lui faire sentir ses dents. Libero s'excusa et recommença à sucer. "Ça, je dois certainement l'enseigner à Alfredo, quand enfin nous pourrons nous rencontrer à nouveau !" pensa Libero en jouissant de cette nouvelle façon de faire sexe. Quand il réalisa que son compagnon allait venir, il eut un moment d'hésitation, mais le plaisir qu'il ressentait était trop fort, il sentait qu'il allait venir lui aussi, alors il continua avec une vigueur renouvelée. Pietro vint avant lui, et Libero découvrit que le goût, si étrange et inhabituel, n'était pas du tout désagréable. Il avala tout, consciencieusement. Immédiatement après Libero éclaboussa toute sa semence dans la bouche du camarade qui à son tour but tout jusqu'à la dernière goutte. Pietro se détacha de lui et se retourna. Il le regarda avec des yeux rieurs et demanda doucement : "Et alors ?" "J'ai aimé..." "Je t'avais dit, non ? Moi aussi j'ai aimé. Habillons-nous maintenant, allez. Puis, au retour, nous allons nous le mettre dans le cul, moi à toi et toi à moi, d'accord ?" "Très bien." répondit Libero en souriant. "Et maintenant que nous sommes devenus amis... nous le referons, non ?" "Quand je réussirai à avoir un peu de temps... pourquoi pas ?" "Et quand je finis le service à l'armée, toi et moi... Maintenant que je t'ai trouvé..." "Oui, bien sûr." répondit Libero. Ils descendirent de la benne et allèrent s'asseoir dans la cabine. Libero démarra la camionnette, il trouva un endroit où il pouvait manœuvrer et revenir en arrière. Oui, ça lui avait plu, il était content d'avoir trouvé Pietro. Mais, se dit-il, il aurait renoncé à dix Pietro pour pouvoir le faire avec Alfredo !
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