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histore originale par Andrej Koymasky


LE TEMPLE SUR LA HAUTEUR CHAPITRE 4
LE DÉBUT DU SERVICE D'ADER

Akbar poussa le camarade, qui était sur ses genoux, avec sa poitrine sur le grabat, de sorte que son cul était bien poussé vers le haut et en arrière. Il s'agenouilla derrière lui, il lui mit les deux mains sur les fesses en les écartant légèrement et, sans besoin d'y guider son propre membre, il repéra le trou d'Ader et commença à y appliquer une pression croissante. Ader se détendit, comme il savait qu'il devait faire pour en faciliter l'entrée dans son canal. Il sentit son compagnon commencer à entrer en lui. Akbar le pénétra avec une série de légères poussées appliquées avec des ondulations faites avec le bassin. Puis il sentit les poils pubiens du camarade chatouiller ses fesses. Alors il fit battre son anus autour de la racine du membre Akbar.

Celui-ci murmura : "Bravo... tu n'es pas une recrue, je vois. Tu es beau et je prévois que tu auras de nombreuses demandes de la part des dévots, des fidèles et des pèlerins. Dans les prochains jours, si tu veux, je vais t'enseigner quelques astuces pour mieux exécuter ton service pendant que tu es ici au temple."

"Oui, je te remercie. Mais maintenant, pense seulement à me baiser comme il faut !" murmura Ader.

Akbar rigola et recommença à bouger dans le canal chaud et étroit, dans un vigoureux va et vient, en alternant des moments où il le prenait avec de fortes poussées, courtes et rapides avec d'autres où il glissait presque hors de lui et le pénétrait, avec un rythme plus lent et plus long. Ader aimait cette façon de le prendre et il pensa que cela pouvait être un des secrets pour retarder l'orgasme, mais sans arrêter de le prendre. Il se dit que, dans les trois semaines à passer ensemble, il pourrait apprendre plusieurs choses par ce garçon. Dommage, se dit-il, qu'il aimait plus les femmes... Mais à la fin, en quoi cela lui importait-il ? Maintenant, il avait juste à en jouir en paix.

La gymnastique sexuelle du compagnon continua longtemps : il était évident qu'Akbar prenait son propre plaisir, mais autant il lui en donnait à lui. Il pensa que sûrement Akbar devait être souvent demandé, au cours de l'année de service dans le temple sur la hauteur, au moins par les fidèles qui fréquentaient souvent ce lieu sacré. Il pensa aussi que 'Adon devait être content de ce sacré serviteur, et il devait le remplir de bénédictions.

Akbar, en le prenant, parfois se déplaçait afin de diriger sa colonne de chair dure vers le bas et en le faisant masser un point qui, chaque fois, lui causait un fort frisson de plaisir. Aucun de ses trois amis, ou plutôt deux, parce que seul deux le prenaient, n'avait jamais été en mesure de lui donner un tel fort plaisir. Sûrement pensa-t-il, il avait encore beaucoup à apprendre, sur l'art du sexe. En un an, il deviendrait certainement un expert.

Akbar lui fit soulever la poitrine du grabat, et continua à le prendre en restant les deux debout sur leurs genoux, encerclant sa taille avec les deux bras et en le prenant uniquement avec des mouvements vigoureux du bassin. Dans cette position, le frottement sur ce particulier point de son canal était beaucoup plus fréquent, et son plaisir augmentait rapidement, et Ader comprit qu'il aurait bientôt atteint un nouveau, fort orgasme. Ce qui bientôt arriva. Pendant qu'Ader venait pour la deuxième fois, il contracta avec force son sphincter, et cela également déclencha l'orgasme du partenaire, qui le serra avec plus de vigueur, et déchargea à son tour en lui.

Ils restèrent un peu de temps immobiles, les deux en respirant profondément, jusqu'à ce que progressivement ils se détendent. Puis, lentement, Akbar se désenfila de lui et émit un long soupir.

"Tu m'as plu, Ader. Oui, j'ai vraiment aimé. Je suis content qu'ils t'aient confié à moi."

"Moi aussi. Durant ces jours que nous passerons ensemble, tu m'enseigneras comment faire le sexe de la meilleure façon possible? Je pense que j'aurai beaucoup de choses à apprendre de toi."

"Volontiers. Mais maintenant, c'est bien que nous dormions. De toute façon, tu es déjà plutôt bon."

"Je parie que tu étais très demandé, pas vrai ?"

"Assez. Peut-être même plus que ce que j'aurais souhaité. Mais nous qudishim nous sommes au service des fidèles, on n'a pas le choix, logiquement."

"Tant toi que le prêtre, avez parlé hier des dévots, des pèlerins et des fidèles. Quelle est la différence ? Ils ne sont pas la même réalité ?"

"Pas exactement. Il y a quelques nuances. Le dévot est une personne qui, dans son âme et par des pratiques et des rites religieux, s'en remet à la protection des divinités. Les fidèles sont ceux qui appartiennent à une religion particulière, et ceux qui ont une dévotion spéciale vers une seule divinité. Le pèlerin, enfin, est une personne qui visite les différents temples ou sanctuaires d'un dieu ou de différents dieux. Le pèlerin revient rarement, parce qu'il essaie de visiter de nouveaux temples ou sanctuaires. Le dévot peut revenir ou non. Les fidèles à la place, reviennent souvent ; ils sont en effet, fidèles à ce temple, à 'Adon'is. Les fidèles en général essaient toujours d'avoir le même qudish, pour l'année qui revient. Donc, il est fidèle aussi à l'un d'entre nous et, à travers nous, au dieu. Mais maintenant dormons : nous avons trois semaines pour parler de ces choses." répéta Akbar.

Durant les jours suivants, en plus de lui expliquer les règles de la vie d'un serviteur sacré du dieu, Akbar lui révéla également quelques trucs pour être un bon qudish. Parmi les diverses ruses et astuces, il lui expliqua aussi comment retenir ou retarder l'orgasme ou même comme faire croire au fidèle de l'avoir eu, en s'épargnant pour un autre fidèle éventuel. Il lui expliqua aussi comment faire les ablutions après un rapport, avec le dévot. Ensuite, les prêtres commencèrent à expliquer aux nouveaux venus certains aspects de leur service.

"Quand un dévot dépose dans votre giron une offre, ça signifie qu'il vous a choisi. L'offre déposée sur votre giron devient, à ce moment-là sacrée, alors que ce soit une pièce de monnaie de cuivre ou un collier d'or lourd, il a la même valeur, et les dévots doivent être traités de manière identique. Ici, un roi ou un serviteur doivent être traités de la même manière, pendant le déroulement du rituel sacré de l'union sexuelle. Bien sûr, en dehors de cela, un roi et un serviteur sont très différents, de sorte que vous aurez à répondre à chacun dans la forme due. Mais à partir du moment où vous vous allongez sur le lit jusqu'au moment où vous le quittez, vous devez traiter tout le monde de la même manière, avec le même soin, parce que vous représentez le dieu, et pour le dieu un roi et un serviteur sont également petits. C'est seulement pour nous les hommes qu'ils sont différemment grands.

"Lorsque vous avez reçu dans votre giron l'offre, vous devez vous lever et inviter le fidèle à vous suivre dans votre cellule, qui devra toujours être en ordre et bien propre. A côté de la porte qui mène du portique aux cellules, il y aura la caisse dans laquelle vous déposez les offres reçues. À côté de chaque caisse, il y aura un soldat de garde. Trois fois par jour, un prêtre avec deux serviteurs ramassera les caisses et les remplacera par des caisses vides, et apportera les offres dans le trésor, s'il s'agit de monnaies ou des bijoux, ou dans l'entrepôt ou dans le garde-manger s'il s'agit d'autres objets ou d'aliments.

"Comme vous entrez dans votre cellule avec le dévot, mais avant de vous déshabiller, puis de nouveau avant de sortir, sans vous être rhabillés, vous devez chanter les prières de demande de bénédiction au Dieu 'Adon. Durant ces jours avant la réouverture du temple, vous devez les apprendre par cœur, ainsi que la façon dont elles doivent être chantées. Quand vous avez fait votre devoir avec le dévot, vous devez l'emmener avec vous dans la salle de bain pour vous nettoyer. Mais si le dévot ne veut pas vous suivre, vous ne devez pas insister, mais vous l'accompagnerez à la sortie du portique, puis allez-vous laver et seulement alors vous pouvez vous rhabiller.

"Rappelez-vous, aussi, qu'aucun de vous ne peut accepter et encore moins solliciter un don personnel de l'un des dévots. S'il voulait vous le faire, vous ne pouvez pas le prendre, mais vous devez le lui faire déposer dans la caisse spéciale qui sera à côté de la sortie. Il ne fera pas partie du trésor sacré, mais sera utilisé pour donner à ceux qui ont fini l'année de service un cadeau de congé.

"Vous devez rappeler aux dévots qui vous choisissent, que dans l'antichambre du temple il y a toujours des prêtres à disposition pour des bénédictions spéciales, pour vendre des talismans et pour faire des divinations. Si après ils voulaient visiter le temple, vous devez les diriger vers l'un des prêtres en service dans le portique. Certains dévots pourraient vouloir manger avec vous un repas sacré au dieu. Encore une fois dirigez-les à un des prêtres en service pour qu'il fasse préparer tout le nécessaire."

Le prêtre continua avec ses explications, répondant aussi aux questions des nouveaux garçons, parfois répétant certaines indications que les qudishim anciens leur avaient déjà données. Puis il leur expliqua l'usage du grand bassin d'eau et de l'autel du feu :

"Chaque matin, au lever du soleil, tandis que les gardes au signal ouvrent les portails du temple, l'un d'entre vous à tour de rôle, en commençant par l'un des plus jeunes en service, devra monter au grand bassin, en prenant de l'eau bénite avec le goupillon spécial et asperger tout le portique, en faisant le tour de colonne en colonne trois fois, tandis que les prêtres chantent les psaumes du jour. En attendant, un des plus âgés en service parmi vous serviteurs sacrés, allumera le feu sur l'autel, en utilisant un tison qui sera envoyé par la Lumière de 'Adon en bas de la tour de feu, avant d'éteindre le feu guide pour les marins. L'eau et le feu purifieront le portique. Les autres zones du temple seront purifiées par nous les prêtres.

"Durant ces jours avant la réouverture du temple, nous prêtres, escortés par des soldats, nous vous accompagnerons pour visiter la forêt autour du temple, la source d'eau sacrée et le cimetière qui est un peu plus loin en aval. Dans le cimetière sont enterré ceux qui, pour une raison quelconque, sont morts ici dans le temple. Bien entendu la plupart d'entre eux sont les membres de l'ordre sacerdotal. Mais malheureusement parfois quelque serviteur sacré et quelques soldats, ou même quelque serviteur pourraient mourir tandis qu'ils sont au service du temple, et donc ils seraient enterrés dans notre cimetière."

Ce fut pendant qu'ils visitaient les bois à la gauche du temple, d'où les esclaves prenaient le bois pour alimenter le feu de la tour, que Yehaw s'approcha d'Ader.

"Hé, Ader, as-tu déjà baisé avec celui avec qui tu partages la cellule pendant ces jours ?" lui demanda-t-il à voix basse, avec un petit sourire malicieux.

"Pourquoi, serais-tu jaloux ?" lui demanda le garçon avec ironie.

"Moi ? De toi ? Mais allez ! J'ai baisé de toute façon avec le mien. Et j'ai pu lui apprendre quelque petit truc qu'il ne savait pas."

"Eh, il y a toujours quelque chose à apprendre dans la vie !" ironisa Ader.

"Alors, as-tu baisé avec le tien ? Je pense que nous avons déjà baisé tous les sept : à notre âge ce n'est jamais assez."

"Nous n'avons rien fait d'autre toute la nuit, et toutes les nuits jusqu'à maintenant." mentit Ader gaiement.

"Oh, vraiment ?"

"Pourquoi, pas toi ?"

"Eh bien... pas toute la nuit. Il faut aussi dormir, non ?"

"Pour moi, baiser est déjà comme me reposer. Nous ne sommes pas des vieillards sans plus d'énergie, non ?"

"Je me demande comment les prêtres font pour ne pas baiser. Je ne pourrais certainement jamais devenir prêtre. Ou si je le devenais, je pense que je serais chassé ignominieusement assez tôt."

"Je pense que lorsque nous commencerons notre service, nous aurons bien peu de désir de baiser entre nous, surtout si beaucoup de dévots montent jusqu'ici et que nous sommes très demandés."

"Mais oui, ça aussi c'est vrai. Eh bien, nous verrons. Mais tu n'as jamais fait de sexe à trois, ou plus de trois ?"

"Non, moi j'aime le faire avec une seule personne à la fois."

"Moi oui. C'est juste fort de baiser et d'être baisé en même temps, tu sais ? Le plaisir est doublé. Tu sais ce qui me plairait ? Baiser une femme et me faire baiser par un garçon en même temps."

"Yehaw ! Est-il possible que tu saches seulement penser et parler de baises ?"

"Eh bien, après tout, nous sommes là pour ça, non ?"

"Non, nous sommes ici pour le culte du dieu 'Adon. Je te l'ai déjà expliqué que c'est différent."

"Oui, oui, tu me l'as expliqué, mais tu ne m'as pas convaincu. À mon avis, baiser c'est encore seulement baiser, et c'est l'activité la plus amusante pour un homme."

"Ouais, dommage qu'on doive aussi travailler, manger, dormir... tout du temps perdu !" ironisa Ader. "Et puis, peut-être, aussi réfléchir, penser, faire fonctionner la tête en plus que la bite."


Enfin vint le dernier jour de jeûne. Le soir, après le coucher du soleil, donc déjà dans le nouveau jour, l'ensemble du personnel du temple fit une grande fête, et pour la première fois Ader et les autres six nouveaux qudishim virent la Lumière de 'Adon et ses sept jeunes servantes.

La grande prêtresse s'appelait Arsai et était originaire de Bytmiri. C'était une très belle jeune femme, elle avait dix-huit ans et resterait au temple jusqu'à l'âge de vingt-deux ans. Elle portait une tunique de pourpre brodé de fil d'or, mais, contrairement à ses servantes, la tunique n'allait pas des épaules aux chevilles, mais de sous la poitrine en bas, laissant ainsi les beaux seins durs et de taille moyenne, complètement découverts comme ceux de la déesse Ashtart, la jeune mariée vierge de 'Adon, la déesse de la guerre et de l'amour. Ses cheveux étaient longs et tressés avec art, et sur sa tête, elle portait une basse couronne composée de neuf plaques de filigranes d'or.

Les sept jeunes filles portaient des robes de différentes formes, mais uniquement rouges, le rouge vif qu'on obtient des cochenilles. Elles étaient toutes très jeunes, plus qu'Arsai, et toutes très belles et bien faites. Sur la tête, elles avaient un ruban blanc noué sur le côté gauche, d'où pendaient de petits objets de filigrane d'or, qui semblaient représenter des fleurs et des animaux. Toutes les sept faisaient une couronne à Arsai et la servaient.

Ader nota le regard fasciné avec lequel Yehaw regardait le sein de la Prêtresse et secoua la tête, pensant que ce regard était en soi-même blasphématoire. Puis il remarqua comment tous les prêtres, y compris le Protecteur, avaient un grand respect pour elle et il se demanda si elle était le véritable chef de cette communauté, même si elle était presque recluse. Ou, il se demandait si cette déférence était seulement formelle. Il lui aurait plu de le comprendre.

Il obtint sa réponse avant que la soirée se termine. Le Protecteur avait dit que, à partir des sept qudishim qui devaient rentrer dans leurs villes et leurs maisons, on devait cesser de leur faire le cadeau de bon retour en utilisant les cadeaux personnels laissés par les fidèles : cet argent et les objets de valeur devraient être utilisés plutôt pour le temple.

Immédiatement, la Lumière de 'Adon l'avait fait se taire avec un léger geste de sa main et, d'une voix calme, sur un ton gentil mais ferme, elle dit : "Je ne peux pas être d'accord avec toi, noble Protecteur. On fera comme on a toujours fait jusqu'à présent. Les garçons savent que c'est la coutume, et donc vous devez leur donner ce qui leur appartient. Si nécessaire, nous pouvons discuter de l'opportunité de changer cette coutume à partir du nouveau groupe de serviteurs sacrés qui viendront ici dans trois mois. Mais même en ce cas, je serai presque certainement opposée, sauf si vous m'apportiez des motifs sérieux. Pour embellir le temple, une bonne chose sans aucun doute, il suffit d'utiliser le trésor du temple. Je ne pense pas que les caisses soient vides."

"Mais plus que pour embellir le temple, je pensais faire construire un pavillon pour loger les pèlerins ou ceux qui voudraient s'arrêter ici pour quelques jours. Il pourrait être construit en face du portail d'entrée, à côté de la rue qui descend vers le cimetière."

"Bien, ceci me semble vraiment une idée excellente. Donc, votre bonne suggestion peut être appliquée à partir du prochain groupe de serviteurs sacrés du dieu, et pour ne pas faire de trop grandes différences avec les groupes précédents qui quittent pendant leur service, la somme du don final sera progressivement diminuée tous les trois mois, mais pas complètement abolie. Je suis sûre que dans votre sagesse vous serez d'accord avec moi."

"De cette façon, cependant, ô Lumière de 'Adon, il faudra des années pour accumuler assez d'argent pour construire l'hôtellerie." objecta le Protecteur.

"Et alors on utilisera une partie du trésor du temple. Je suis sûr que vous serez d'accord avec moi, noble Protecteur." conclut la grande prêtresse sur un ton définitif, mais avec un sourire délicieux. Le Protecteur fit une légère révérence de la tête, en signe d'acceptation.

Ader admirait la force et la douceur en même temps, d'autant plus remarquable pour une femme de dix-huit ans vis-à-vis d'un homme d'une quarantaine d'années.

Enfin, les portails du temple furent rouverts. Tôt le matin, les sept ex-qudishim partirent, salués par tous. Déjà le premier jour vingt fidèles montèrent au temple, et Ader fut choisi pour la première fois.

C'était un homme dans la trentaine, de constitution robuste, vêtu avec une certaine élégance simple. Lorsque l'homme entra dans le portique, il s'arrêta un instant à l'entrée, il regarda d'un coup d'œil rapide tous les serviteurs sacrés déjà à leurs places entre les piliers, puis fit tout le tour en passant devant chacun le regardant attentivement. Ader, comme les autres, avait une expression sereine, mais absente, comme s'il ne voyait pas l'homme, afin d'éviter toute forme de séduction. Mais il remarqua que l'homme, même s'il n'était pas vraiment beau, avait une expression agréable sur son visage.

L'homme, après avoir terminé son tour, alla résolument vers la position d'Ader, et déposa dans son giron son offre. Alors Ader se leva, ramassa l'offre de l'homme et vit que c'était une pièce d'argent. Il fit une révérence légère à l'homme et lui dit : "S'il vous plaît suivez-moi, noble seigneur."

Il monta sur la marche, traversa un bout du portique jusqu'à atteindre la porte menant vers le groupe de cellules où était la sienne, et écarta le rideau invitant l'homme à entrer. Puis il le conduisit jusqu'à sa cellule, écarta aussi le rideau de celle-ci et fit encore signe à l'homme d'entrer. De la haute fenêtre venait un rai de lumière du soleil qui dessinait un rectangle sur l'un des murs en bois de la cellule. Quand l'homme entra, Ader laissa tomber le rideau derrière lui, chanta le premier chant de bénédiction, puis avec peu de gestes se déshabilla, accrocha sa robe sur le mur et se tourna pour aider l'homme à se déshabiller.

Quand il se retourna vers lui, il vit que l'homme était déjà presque complètement nu, alors il prit ses vêtements, les plia soigneusement et les mit sur le banc. Puis il tendit une main à l'homme pour l'inviter à monter sur son grabat. Ils n'avaient pas encore échangé un seul mot.

L'homme, debout devant le garçon, le regarda de haut en bas avec un air appréciateur. Puis, avec une voix basse et chaude, il parla.

"Tu es nouveau, mon garçon."

"Oui, ceci est mon premier jour de service au temple, noble seigneur." répondit-il en le regardant à son tour.

L'homme était assez musclé ; il avait un duvet léger tout au long de la poitrine et sur les jambes. Les mamelons étaient parfaitement rond, presque plats concaves et sombres, avec un halo de poils autour. Le membre était de taille moyenne, encore souple, orné d'un trapèze de poils noirs épais. Dessous, pendait le beau sac des testicules. C'était un plaisir de le regarder.

"Si tu es aussi bon que beau, le Dieu 'Adon nous comblera de ses bénédictions." dit l'homme avec un sourire. Puis il lui dit : "Couche-toi, maintenant, et laisses-moi faire."

"Certainement, noble seigneur."

Quand Ader fut couché, l'homme s'étendit au-dessus de lui, le couvrant de tout son corps. Il se remua sur lui, afin que la poitrine légèrement velue frotte contre la poitrine glabre du garçon, et son membre, qui prenait de la consistance, fut pressé contre le membre d'Ader, qui commença immédiatement à s'exciter. L'homme passa ses bras sous le dos du garçon, le tenant serré contre lui, et se tourna sur le dos, de sorte qu'Ader se trouva dessus. Les grandes et fortes mains de l'homme se posèrent sur les fesses d'Ader, en les palpant avec la bonne vigueur, lui faisant ainsi bouger légèrement son bassin, en faisant ainsi frotter son corps contre le sien. Le garçon se déplaça légèrement pour rendre les choses plus faciles à cette manœuvre, et le sourire de l'homme s'accentua, signalant ainsi au garçon qu'il agissait de la bonne manière.

"Si tu es nouveau, si cela est ton premier jour ici, tu ne crains pas que ma bite soit trop grande pour ton petit trou ?"

"Je ne pense pas, noble seigneur."

"Arrête de m'appeler noble seigneur, je ne suis pas noble, je suis juste un charpentier."

"Ayez la bonté de me dire comment vous appeler."

"Mon nom est Sikar'baal, mais je devrais plutôt m'appeler Sikar'adon, en fait, car je suis un fidèle du grand dieu 'Adon, et que je viens de temps en temps ici dans son temple. Appelle-moi Sikar, donc."

"Comme vous commandez, Sikar."

"Et quel est ton nom, mon garçon ?"

"Ader."

"Eh bien, Ader. De toute façon, ce n'est pas la première fois que quelqu'un jouit de ton beau cul, je pense."

"Non. Certains de mes amis l'ont déjà visité."

L'homme eut un petit rire : "Ton expression me plaît. Visiter un petit cul. Mais ces amis étaient tous des gars comme toi ?"

"Oui, mes pairs."

"Donc, leurs bites étaient moins grandes que la mienne, je pense."

"C'est ainsi, Sikar."

"Alors je vais y aller avec précaution. Je le... visiterai en faisant bien attention à ne pas endommager ton lieu de plaisir. Tu devrais avoir la petite amphore de verre de l'onguent, je pense. Prends-la et donne-la moi, pour que je puisse l'utiliser pour te préparer à ma visite."

Ader tendit la main, prit le petit pot de verre qui était sous le tabouret sur lequel il avait placé les vêtements de l'homme, et le lui donna. L'homme le posa à côté de lui sur le lit, et continua à se frotter le garçon sur son corps, assez longtemps pour que le membre des deux soit très dur et bien droit.

"Maintenant mets-toi debout, place tes mains sur la paroi et mets un pied sur le tabouret. C'est la meilleure position pour te permettre de m'accueillir avec le moins d'embarras."

Ader s'exécuta. L'homme prit la petite amphore, se mit debout, il en enleva le bouchon et y plongea un doigt. Avec celui-ci il commença à lubrifier le trou caché du garçon, tout autour d'abord, puis le poussa graduellement à l'intérieur, en continuant à le faire tourner doucement, pour bien détendre l'anus du garçon. Il continua dans ce massage préparatoire, chaque fois poussant un peu plus à fond son doigt, jusqu'à ce qu'il soit tout dedans. Ader pensa que c'était un massage très agréable et que l'homme devait avoir une bonne expérience. Le doigt de l'homme le pénétra de nouveau à fond, mais cette fois en appuyant légèrement vers le bas, de sorte de le frotter sur la prostate. Ader eut un sursaut léger.

"Je t'ai fait mal, Ader ?"

"Non, au contraire, vous m'avez touché dans un endroit qui donne du plaisir." le garçon murmura, tressaillant comme le doigt dans son rectum remuait légèrement en augmentant son plaisir, et en effet, le membre d'Ader sursauta plus dur que jamais.

"Bien..." murmura l'homme continuant ses manœuvres.

Quand il sentit que le garçon était tout un frémissement et le sphincter autour de son doigt palpitait détendu, lentement il retira son doigt, passa un peu d'onguent sur son membre encore bien droit et dur, et il en appuya la pointe sur l'anus frémissant.

"Es-tu prêt Ader ?"

"Oui..." soupira le garçon.

L'homme commença à pousser en avant. Ader se détendit complètement, pour en faciliter l'accès dans son canal. Il sentit le sphincter se dilater graduellement, puis la dure hampe commença à l'envahir avec une lenteur délibérée, mais sans arrêt. Entretemps, il lui palpait et massait les fesses, les écartant pour faciliter le plein accès de son membre dans le canal chaud et accueillant. Ader poussa instinctivement son bassin légèrement vers l'arrière, presque comme pour accélérer cette pénétration agréable. Il se sentait très dilaté, il n'avait jamais pris un membre de ce calibre, mais non seulement ça ne lui donnait pas de problème, mais lui donnait du plaisir.

Lorsque le membre de Sikar lui fut dedans à moitié, l'homme commença à se déplacer d'avant en arrière, chaque fois pénétrant un peu plus à fond le garçon. Ader se sentait agréablement rempli. Lorsque le membre de l'homme passa sur sa prostate, à nouveau Ader eut un petit sursaut et encore instinctivement, commença à se masturber. Sikar lui enleva la main du membre.

"Non, Ader, je te ferai venir, après. Laisse-moi faire, je t'ai dit."

"Oui, pardonnez-moi Sikar." murmura le garçon.

L'homme sourit et continua à bouger à l'intérieur de lui, avant et en arrière, avec une vigueur calme. Ader eut de nouveau la tentation de se masturber, mais il ne le fit pas, parce que l'homme ne voulait pas. Il se dit qu'il devait faire ce que l'homme lui demandait, pour le rendre heureux. Akbar et l'un des prêtres avaient insisté sur le fait qu'un serviteur sacré devait laisser le dévot pleinement satisfait : il en allait du bon renom du dieu 'Adon et du temple sur la hauteur.

L'homme continuait à le prendre tranquillement, longtemps, en réjouissant le canal étroit du nouveau garçon qui servait dans le temple. Les poussées devinrent plus vigoureuses et Ader, ses mains posées sur la paroi de bois qui séparait sa cellule de celle d'à côté, se dit qu'heureusement, les bâtisseurs avaient fait des parois solides. Il entendit que la respiration de l'homme devenait plus lourde et se transformait en gémissements légers, et comprit que son premier homme allait atteindre l'orgasme. En fait Sikar le saisit par la taille avec ses grandes mains fortes, presque comme les griffes d'un grand aigle puissant qui vole l'agneau au pasteur et qui l'emporte dans son vol ; après une série de coups forcenés, il se poussa tout dans lui et avec une série de fortes contractions il déchargea dans les profondeurs secrètes du serviteur sacré du dieu.

Sikar s'arrêta, haletant lourdement, puis se désenfila lentement du garçon. Il le fit tourner. Ader remarqua que le visage de l'homme était légèrement rougi, et les yeux brillaient, montrant le plaisir qu'il venait d'obtenir. Sikar soupira profondément.

"Reste là, debout, maintenant, je vais prendre soin de toi." dit-il d'une voix encore un peu enrouée d'excitation.

L'homme s'accroupit devant le garçon et prit dans la bouche le membre encore droit et dur du jeune. Avec une certaine fougue, il commença à le sucer avec un vigoureux va et vient, en remuant la langue contre la tige. Chaque fois qu'il la faisait sortir de la bouche, les lèvres de l'homme se pressaient sous la couronne du gland et il y passait la langue, augmentant ainsi le plaisir du garçon. Cet exercice ne dura pas longtemps : bientôt Ader déchargea dans la bouche vorace de l'homme, qui avala tout dans de grandes gorgées.

Quand le garçon lui avait versé aussi la dernière gorgée de cette libation sacrée, l'homme se leva, essuyant ses lèvres avec le dos de sa main, et dit, avec un sourire et une voix chaude et basse : "Tu as un bon goût, garçon. Maintenant, tu peux chanter la prière finale, puis nous irons nous laver."

"Vous êtes un expert, Sikar." observa le garçon avec un sourire.

"Il ne passe pas un mois sans que je vienne au moins une fois pour honorer le dieu 'Adon du feu. Allez, concluons le rituel, maintenant."

Alors qu'ils se lavaient, Sikar lui dit qu'il était marié et avait trois enfants, le plus grand de dix ans et le plus petit de seulement huit mois. Il était fier de son travail en tant que charpentier, et lui dit qu'au chantier de construction était en construction leur première trirème, un énorme navire de guerre, pour protéger les routes commerciales des attaques de pirates.

Quand l'homme quitta le temple, Ader enfila la tunique de lin blanc de nouveau et s'assit à sa place, entre les colonnes du portique.


Ainsi, commença le service d'Ader comme serviteur sacré du Dieu, dans le temple sur la hauteur. Comme il lui avait été dit, la majorité des dévots se composait de marins qui étaient ancrés dans les ports voisins de Be'erot et de Zikriit, et qui visitaient le temple remerciant ainsi le Dieu 'Adon pour le feu sur la tour qui dans la nuit les aidait à naviguer à bonne distance de la côte.

Parfois arrivait aussi un dévot de haut rang, souvent escorté par des fonctionnaires et des armés. Ces derniers devaient laisser leurs armes à l'entrée, à la garde des soldats du temple : on ne pouvait pas entrer armés dans l'enceinte du temple, même pas un roi. Quand une personne importante visitait le temple, lui et son entourage choisissaient un serviteur chacun pour accomplir le rite, et les offres étaient toujours de grande valeur, tant en pièces de monnaie qu'en bijoux.

Bien que les serviteurs sacrés, dans la cellule, devaient traiter tous les dévots de la même façon, hors de la cellule les personnages importants étaient toujours accueillis et suivis par un ou plusieurs prêtres, qui se tournaient vers eux avec un respect évident et de grandes révérences. Ces personnages souvent demandaient qu'on prépare un bon repas pour eux, leurs hommes et les serviteurs sacrés qu'ils avaient choisis, et cela était une autre bonne source de revenus pour le temple.

Les pèlerins, cependant, étaient généralement avides d'amener des amulettes du temple et des talismans, que les prêtres vendaient dans l'antichambre à côté du portique, pour montrer à la famille et aux amis, quand ils rentraient chez eux, qu'ils avaient aussi visité le temple de 'Adon'is, de Adon du Feu. Ils étaient un peu comme des collectionneurs, après tout. L'un des talismans les plus vendus était un phallus en terre cuite de taille naturelle, y compris les globes des testicules, sur lequel étaient inscrits les caractères avec le nom du temple du dieu: «BTADNS» qui est, les consonnes de la phrase «Bet 'Adon'is» qui signifie «Maison de 'Adon du Feu».

Et il y en avait qui, finalement, en plus de coucher logiquement avec un qudish, l'un des serviteurs sacrés, demandait aux prêtres bénédictions ou divinations spéciales, toujours achalandées, payant des prêtres dans la salle du temple : c'étaient des hommes ayant des problèmes de santé, de travail, d'amour ou autre qui estimaient avoir besoin d'un soutien psychologique et émotionnel pour faire face à la vie.

Seules les personnes les plus importantes, suite à leur demande, étaient autorisés à pénétrer dans la cellule dans la tour du feu sacré pour brûler de l'encens en l'honneur du dieu, et seulement certains jours correspondants aux principales fêtes du calendrier, on ouvrait le grand voile qui cachait l'effigie du dieu.

La journée au temple était réglée par le coucher du soleil, qui marquait le début d'un nouveau jour, et du lever du soleil. Ces deux moments étaient marqués par le grand gong qui était au centre du portique des qudishim. En outre dans l'antichambre il y avait une grande horloge à eau qui marquait les heures de la journée et de la nuit, en tout douze heures, et chaque heure le prêtre en charge de la clepsydre à eau battait la nouvelle heure sur le petit gong qui était à côté de l'horloge.

Les repas pendant la journée étaient habituellement au nombre de trois : un au lever du soleil, juste avant que les soldats ouvrent les portails du temple, un à midi, quand parfois les dévots s'arrêtaient pour le repas sacré, et un juste après le coucher du soleil, après la fermeture du temple. Durant les jours de jeûne, on pouvait manger et boire seulement après le coucher du soleil.

Une fois par mois, sept prêtres et sept qudishim, descendaient au lieu d'enterrement qu'il y avait un peu en aval du temple, pour les rites de purification et les prières pour les morts.

Dan'el, un des trois qui avec Ader avait été choisi par la ville de Be'erot pour servir dans le Temple, en bref s'était bien inséré dans son rôle et avait perdu beaucoup de sa timidité. Yehaw était comme toujours le plus effronté et espiègle des trois, et fut bientôt ami avec tout le monde. Et comme d'habitude il ne faisait que parler de quand il aurait finalement «ses femmes» avec lesquelles il prendrait son propre plaisir et générerait de nombreux enfants.

Ader découvrit que les soldats du temple en service actif étaient vingt-huit, quatorze en bleu et quatorze en rouge, mais que en réalité, il y en avait beaucoup d'autres : autant leur donnaient le change, de sorte que chacun prêtait service au temple pendant un mois et pendant un autre mois, il retournait à sa maison et à sa famille. Ils étaient tous mariés, en fait, et beaucoup avaient aussi plusieurs enfants. Certains des soldats étaient au service du temple depuis plus de dix ans, et beaucoup étaient les enfants de soldats qui avaient déjà servi dans le Temple : c'était un travail souvent transmis de père en fils.

En ce qui concerne les esclaves, lorsque l'un de ceux-ci était devenu trop vieux pour continuer à exercer ses fonctions au temple, il était libéré en lui donnant une tablette qui témoignait de sa condition d'affranchi, il recevait une petite somme d'argent et quittait le temple. Ensuite, quelques prêtres allaient au marché d'esclaves de Be'erot ou de Zikriit pour acheter un nouvel esclave jeune et fort, qu'ils amenaient là-haut au temple.

Une fois par mois le grand bassin d'eau sacrée dans le portique des qudishim était vidé complètement et avec l'eau on lavait les plancher en pierre et mosaïque de différentes parties du temple. Ensuite, le bassin était lavé et rempli avec l'eau qui venait de la source sacrée qui jaillissait sous la tour du feu.

La Lumière de 'Adon, la grande prêtresse, restait en fonction pendant sept ans. Chaque fois la nouvelle Lumière était choisie dans un autre des trois villes qui protégeaient le temple. Ses servantes, cependant, étaient remplacées une par an, et aucune ne pouvait venir des villes de la grande prêtresse en charge. Elles étaient toujours choisies parmi les plus belles vierges des trois villes, et devaient être âgées entre treize et quinze ans.

Ader fut surpris par la complexité de l'organisation de la communauté vivant dans le temple, et n'a pas été surpris d'apprendre que l'un des prêtres était destiné à tenir en ordre les listes de chacun d'eux, avec toutes les données nécessaires (nom, ville natale, tâches, la durée du séjour, toutes les dépenses éventuellement nécessaires pour ce membre de la communauté, et ainsi de suite), qu'il conservait dans une série de papyrus. Un autre des prêtres avec une tâche particulière était le commis comptable : il devait garder une trace de toutes les offrandes, les dons, les recettes et les dépenses, et pour cela il n'utilisait pas un boulier, mais un échiquier spécial où les valeurs étaient indiquées avec des piquets dans des couleurs différentes placées dans des compartiments spéciaux. Puis, les comptes faits, il transcrivait les chiffres sur des feuilles de papyrus.

Puis il y avait un prêtre qui devait garder les chroniques quotidiennes de ce qui arrivait dans le temple. Chaque mois il faisait un résumé des faits les plus saillants du mois sur un autre papyrus. Ensuite, chaque année on faisait un nouveau résumé de plusieurs mois, en étendant des nouvelles des événements de cette année. Ader vint à savoir que le temple gardait déjà les chroniques de plus de deux cents ans !

Il y avait un autre prêtre qui soignait les papyrus avec les textes des chants, des psaumes et des prières, des invocations et des bénédictions. Pour ne pas abîmer les plus anciens papyrus, il les recopiait sur de nouveaux papyrus que les autres prêtres pouvaient utiliser sans problèmes. Ader vit que, à côté des hymnes et des chants, des signes spéciaux étaient tracés qui indiquaient comment la voix devait augmenter ou diminuer par rapport à la note initiale, qui était indiquée par une lettre spéciale de l'alphabet.

Le temple faisait donc un grand usage de papyrus qui étaient importés d'Egypte et qui étaient conservés dans la zone des chambres des prêtres, au dos de la salle du temple, dans des étagères spéciales dans la bibliothèque.

Un jeune prêtre, auquel Ader était sympathique pour sa curiosité intellectuelle, non seulement lui expliqua cela et d'autres choses, mais aussi lui a appris à lire et à interpréter les signes de l'alphabet écrit : en fait, puisque l'alphabet utilisait seulement les consonnes, parfois des mots pouvaient être interprétés de diverses manières et seulement en connaissant le contenu du texte on pouvait le lire sans hésitation. Par exemple, le nom du dieu «El» était écrit avec le seul «L», mais aussi l'article «al» était écrit avec seulement le «L». Et «bat» qui signifie fils, était écrit «BT», ainsi que le mot «bet» qui signifie maison. Mais il était clair que l'écriture servait plus pour se rappeler que pour communiquer.


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